Seemore of Petit oiseau si tu n'as pas d'aile on Facebook. Log In. or. Create new account. See more of Petit oiseau si tu n'as pas d'aile on Facebook. Log In. Forgot account? or. Create new account. Not now. Pages Liked by This Page. mon chat. Pronos NBA sur Pronos-basket.fr. Recent Post by Page. Petit oiseau si tu n'as pas d'aile . Today at 5:31 AM. Jazmin Grace, Est-ce un PokĂ©mon oiseau ? Est-ce un PokĂ©mon chauve-souris ? Non, c’est vrai, c’est un PokĂ©mon oiseau, en fait, c’est une liste complĂšte d’entre eux. Nous avons vu des Pidoves, des Pidgeys et bien d’autres Ă  notre Ă©poque parcourir le ciel de Hoenn, Kanto et au-delĂ , et comme les ornithologues experts que nous sommes, nous sommes ici pour rendre compte de nos dĂ©couvertes des meilleurs du troupeau. C’est vrai, vous lisez une liste des meilleurs pokĂ©mon oiseau pour orner les nids, les recoins et les repĂšres naturels du monde PokĂ©mon. Nous avons sĂ©lectionnĂ© tous nos favoris, des lĂ©gendaires seigneurs de l’air aux dix cents attaquants de sable, et tout le reste pour dresser une liste complĂšte des plus remarquables, que ce soit pour leurs prouesses au combat ou leur rĂŽle. dans nos voyages PokĂ©mon individuels. Pour prendre de l’avance sur la prochaine grande aventure PokĂ©mon, assurez-vous de vous familiariser avec les dĂ©marreurs PokĂ©mon Scarlet & Violet, les lĂ©gendaires PokĂ©mon Scarlet & Violet, ainsi que tout autre PokĂ©mon Scarlet & Violet nouveau PokĂ©mon Game Freak a confirmĂ©. Ou, si vous voulez une autre liste avec laquelle vous pouvez ĂȘtre en dĂ©saccord avec colĂšre, comme c’est le cas avec les listes liĂ©es aux PokĂ©mon, parcourez nos choix pour le meilleur PokĂ©mon de dĂ©part. Avec cela Ă  l’écart, prenons notre envol et dĂ©couvrons les meilleurs PokĂ©mon oiseaux. PokĂ©mon oiseaux Lugia Qui d’autre pourrait figurer en tĂȘte de liste ? Lugia est l’un des PokĂ©mon les plus emblĂ©matiques du moment, introduit pour PokĂ©mon 2000 et star de l’art de la boĂźte pour PokĂ©mon Silver, ce type psychique/volant est un monstre d’oiseau et cloue la formule de franchise de bĂȘtes lĂ©gendaires qui sont aussi belles qu’elles le sont. intimidant. Il y a peu de choses Ă  dire sur Lugia, une bĂȘte au combat, un design formidable et probablement la forme d’ombre la plus cĂ©lĂšbre de tous les PokĂ©mon. Alors oui, Lugia est le meilleur. Zapdos Je ne peux pas choisir les trois, car c’est trop Ă©vident, donc si je dois choisir un oiseau lĂ©gendaire prĂ©fĂ©rĂ©, ce devra ĂȘtre le poulet Ă©clair Ă©pineux Zapdos, l’incroyable type Ă©lectrique / volant de la premiĂšre gĂ©nĂ©ration. Zapdos est le premier oiseau lĂ©gendaire sur lequel j’ai mis la main dans PokĂ©mon Blue, et je me souviens encore d’avoir Ă©tĂ© impressionnĂ© par la puissance de feu effrayante qu’il a ajoutĂ©e Ă  mon groupe, envoyant facilement la plupart des membres de l’équipe d’Elite Four Lorelai sans trop avoir besoin de monter de niveau. Psykokwak En gardant les choses jaunes et de premiĂšre gĂ©nĂ©ration, je ne peux pas parcourir cette liste sans inclure un PokĂ©mon canard, et je ne peux pas avoir ce PokĂ©mon qui ne soit pas Psyduck. Si vous avez en quelque sorte Ă©vitĂ© l’anime PokĂ©mon pendant votre enfance, vous ne savez peut-ĂȘtre pas Ă  quel point ce mal de tĂȘte d’avoir PokĂ©mon est emblĂ©matique, mais ses allers-retours continus avec Misty sont encore fermement ancrĂ©s dans l’esprit de tous ceux qui ont grandi avec Ash et le gang. J’ai toujours trouvĂ© un peu dĂ©cevant que Game Freak n’ait pas cĂ©dĂ© Ă  l’anime et fait de Psyduck un type eau / psychique, mais cela ne veut pas dire que ce n’est pas ma migraine prĂ©fĂ©rĂ©e. dĂ©cidue Le seul PokĂ©mon de dĂ©part Ă  appartenir au groupe des Ɠufs de type volant, bien qu’il ne soit pas rĂ©ellement de ce type, Decidueye est un oiseau qui veut dire affaires. Alors que Noctowl est un PokĂ©mon hibou assez dĂ©cent, la nature mystĂ©rieuse des oiseaux nocturnes est vraiment embrassĂ©e Ă  la fois dans la conception et la frappe de Decidueye, c’est-Ă -dire l’herbe / le fantĂŽme, et est facilement l’une des Ă©volutions de dĂ©part les plus inspirĂ©es de la mĂ©moire rĂ©cente. Alors Game Freak, si vous Ă©coutez, nous avons besoin de plus d’oiseaux gĂ©niaux comme celui-ci Ă  l’avenir, et de moins de lĂ©zards boiteux je vous regarde, Inteleon. Tiplouf Ok, donc Piplup pourrait ne pas tomber dans le groupe des Ɠufs de type volant, mais cela ne signifie pas qu’il n’est pas un oiseau. Regardez ce doux petit bec jaune, ces pattes qui se dandinent et ses petites ailes minuscules. Je pourrais regarder dans les yeux ovales de Piplup toute la journĂ©e, juste content de savoir que c’est mon petit copain. Il convient de noter que Piplup Ă©volue finalement vers un Empoleon beaucoup moins amical, mais oublions cela et embrassons simplement la majestĂ© d’un petit PokĂ©mon pingouin. Hawlucha Qu’obtenez-vous si vous croisez Ray Mysterio avec un aigle ? Vous obtenez soit le match WWE le plus intense que j’ai jamais vu, soit Hawlucha, le type vol / combat. Cet aviaire inspirĂ© du luchador est le favori des fans grĂące Ă  son temps de combat aux cĂŽtĂ©s de Ash dans l’anime, ainsi que sa forme brillante super groovy qui Ă©change l’orange et le blanc contre le noir et le violet dans l’un des meilleurs Ă©changes de palette PokĂ©mon. Hawlucha peut aussi se dĂ©fendre au combat, surtout par rapport Ă  certains des autres PokĂ©mon Ă  une seule Ă©tape, et il n’y a rien de plus ennuyeux que d’affronter un balayage de danse des Ă©pĂ©es de ce lutteur ailĂ©. Braviaire hisuien Bien que Braviary ait toujours Ă©tĂ© un peu un favori personnel en ce qui concerne les PokĂ©mon oiseaux, ce n’est que dans PokĂ©mon Legends Arceus que moi, ainsi que beaucoup d’autres, j’ai enfin apprĂ©ciĂ© la vraie beautĂ© de cette bĂȘte ailĂ©e. Hisuian Braviary est un spectacle d’un PokĂ©mon, avec des ailes blanches sauvages qui occupent la moitiĂ© de l’écran, une tĂȘte Ă  plumes qui apparaĂźt avec des couleurs et des griffes fĂ©roces qui vous transportent d’une maniĂšre ou d’une autre dans votre aventure Ă  travers le monde PokĂ©mon d’autrefois. Tout ce que j’espĂšre avant cette date de sortie de PokĂ©mon Scarlet et Violet, c’est que ce bel oiseau ne reste pas dans le passĂ©. Serreflamme J’ai un peu parlĂ© des PokĂ©mon compĂ©titifs dans cette liste, donc je ne peux pas la terminer de bonne foi sans inclure Talonflame, un PokĂ©mon oiseau dont l’impact sur la mĂ©ta compĂ©titive a Ă©tĂ© aussi rapide que, eh bien, un Talonflame avec la capacitĂ© d’ailes de vent . Vous voyez, les ailes de vent permettent Ă  Talonflame d’attaquer en premier lorsqu’il est Ă  plein HP, donc si vous pouvez commencer la bataille avec l’oiseau brĂ»lant, alors vous avez essentiellement un coup franc sur un adversaire. Cela peut ne pas sembler si rĂ©volutionnaire, mais si vous vous souvenez que Talonflame peut apprendre un oiseau courageux, le mouvement de type volant le plus puissant du jeu, la chaleur peut devenir un peu trop difficile Ă  gĂ©rer. Piggey Vous ne pensiez pas que je le ferais, n’est-ce pas ? Eh bien, j’ai, et il n’y a aucun regret du tout. Pidgey est emblĂ©matique, le premier PokĂ©mon sauvage que beaucoup d’entre nous ont rencontrĂ©, et la base d’une tradition de type oiseau qui est toujours aussi forte aujourd’hui. Bien sĂ»r, vous pourriez avoir un peu de vendetta contre le PokĂ©mon pigeon pour des souvenirs de spam d’attaque de sable, mais Ă  la place, essayez de penser Ă  ce Pidgey de niveau trois qui vous a fait voler autour de Kanto quand vous Ă©tiez enfant, et vous comprendrez peut-ĂȘtre pourquoi il fait la liste . VoilĂ , notre liste de PokĂ©mon oiseaux remarquables de l’histoire de les attraper tous. Pour retourner dans la nature et admirer vous-mĂȘme des oiseaux, choisissez un lieu dans notre liste des meilleurs jeux PokĂ©mon.
Accueil/ Ă  classer 2 / Birdman (2014), petit oiseau, si tu n’as pas d’ailes / little bird, if you don’t have your wings Birdman (2014), petit oiseau, si tu n’as pas d’ailes / little bird, if you don’t have your wings ZoĂ© Klein 2015-02-21 Laissez-nous un commentaire. Partager. DerniĂšre mise Ă  jour : octobre 19th, 2015 at 11:12 « Let’s get ready to rumble! » Le
C’est Ă  l’aĂ©rodrome de Luchon que les plus courageux ont rendez-vous avec Freddy Sutra, moniteur de parapente. Mais c’est Ă  quelques minutes de lĂ , Ă  SuperbagnĂšres et ses 1 800 mĂštres d’altitude que tout commence. Cette annĂ©e, le moniteur a dĂ» s’adapter. "D’habitude, on monte en tĂ©lĂ©cabine mais elle est en travaux. Donc on prend la route" explique-t-il. Dans la voiture, Freddy Ă©voque son activitĂ© avec passion "Ça fait maintenant 34 ans que je vole. Mon premier vol c’était le 10 aoĂ»t 1988 dans la vallĂ©e du Louron, je m’en souviens encore trĂšs bien. En rentrant sur Luchon, j’ai vu un gars qui vendait un parapente d’occasion, je lui ai achetĂ©, je voulais voler. J’ai continuĂ© Ă  me former aprĂšs. Au dĂ©but je volais n’importe comment. Petit Ă  petit, l’expĂ©rience est arrivĂ©e". AprĂšs avoir passĂ© le brevet d’état, il est devenu moniteur de parapente spĂ©cialisĂ© dans le vol biplace, avec une idĂ©e en tĂȘte voler le plus possible. Car sa passion se passe dans les airs, en parapente mais aussi en planeur, en hĂ©licoptĂšre et en avion. "L’important pour moi, c’est d’ĂȘtre en vol. Je fais ça toute l’annĂ©e, la vie est belle" confie-t-il. ArrivĂ©s Ă  SuperbagnĂšres, il prĂ©pare le matĂ©riel et nous Ă©quipe. L’immense toile est attachĂ©e Ă  la sellette par de solides suspentes que Freddy vĂ©rifie attentivement. Quelques directives pour le dĂ©collage sont nĂ©cessaires "on va se pencher en avant et courir pour prendre notre envol". À peine le compte Ă  rebours lancĂ© que la toile s’élĂšve et nous propulse dans les airs. Les pieds dans le vide, le vol peut commencer. Le temps s’arrĂȘte et la sensation d’ĂȘtre un oiseau prend le pas. "Bienvenue dans mon paradis" lance Freddy, heureux. Le moniteur joue avec les manettes pour prendre de la hauteur et de la vitesse. Pour ce faire, il tourne en rond afin d’entrer dans les couloirs d’air. À quelques mĂštres, des vautours profitent, eux aussi, des courants d’air pour planer. Freddy les suit pour entrer dans ces courants avec son parapente. "C’est important d’observer et de ressentir le vent pour prendre l’ascendance et se laisser porter" explique le moniteur. Il est Ă©videmment dĂ©pendant de la mĂ©tĂ©o pour pratiquer son activitĂ©. "On joue vraiment avec l’élĂ©ment donc parfois on doit annuler s’il y a des nuages devant le dĂ©part par exemple, parce qu’on ne peut pas passer Ă  travers, on est soumis au vol Ă  vue. Quand il y a du vent de sud ici dans les PyrĂ©nĂ©es, lĂ  c’est le danger. Le vent vient du cĂŽtĂ© espagnol et plonge du cĂŽtĂ© français avec des fortes rafales et des rouleaux donc lĂ  on ne vole pas car ça devient un peu turbulent. Sous orage, on ne vole pas non plus. Le danger n’est pas la foudre mais les rafales de vent ou mĂȘme les nuages qui peuvent nous aspirer" explique Freddy avant d’ajouter "mais Ă  d’autres moments on peut se rĂ©galer en vol quand les conditions sont rĂ©unies comme aujourd’hui". La vallĂ©e de Luchon Ă  plus de mille mĂštres du solLe parapente survole la vallĂ©e de Luchon, ses montagnes et ses habitations. Freddy parle de cette vallĂ©e et ces sommets qu’il connaĂźt si bien. Natif de Luchon, il a observĂ© les changements depuis 34 ans. En passant au-dessus des forĂȘts de pins, il sourit "j’ai vu les arbres pousser et la nature changer au fil du temps. Au fur et Ă  mesure des vols, j’ai appris des choses sur l’environnement qui nous entoure". Dans les airs, on aperçoit les sommets espagnols au loin, perdus dans les nappes de nuages. Sans s’en rendre compte, le parapente s’élance Ă  une vitesse de 45 km/h, mais la sensation de planer et de se laisser porter par le vent prend le dessus. Pour autant, Freddy contrĂŽle le parapente en ressentant les allĂ©es et venues des courants d’air. "Le pilotage repose sur l’observation et sur le ressenti de l’élĂ©ment" ceux qui hĂ©siteraient Ă  se lancer, Freddy l’assure, le parapente n’est pas dangereux "il y a toujours cette idĂ©e prĂ©conçue comme quoi c’est une activitĂ© dangereuse, mais il faut bien comprendre que les accidents aĂ©ronautiques sont provoquĂ©s par des erreurs humaines. En tant que moniteur, on est capable de maĂźtriser l’élĂ©ment et quant au matĂ©riel, il est extrĂȘmement rĂ©sistant et fiable".Au bout d’une heure de vol qu’on ne voit pas passer, il est temps de rentrer. L’atterrissage se fait sur la piste de l’aĂ©rodrome. Avant cela, Freddy dĂ©cide de devenir copilote et de cĂ©der ses manettes. "Tire la manette droite en te penchant sur le cĂŽtĂ© droit", le parapente s’incline alors abruptement sur le cĂŽtĂ©. On rĂ©pĂšte l’action Ă  gauche, puis de nouveau Ă  droite. Finalement, cela semble simple de piloter un parapente ! Freddy reprend les manettes pour guider le parapente vers la piste d’atterrissage. Tout en douceur, les pieds se posent sur le sol. Une sensation que l’on avait presque quelques minutes, Freddy replie la grande toile du parapente et range son matĂ©riel. Un autre passager l’attend pour vivre la sensation unique du vol en parapente. À peine le temps de prendre une courte pause, il reprend le chemin de SuperbagnĂšres pour un nouveau vol. AprĂšs tout, ce qu’il aime, c’est "ĂȘtre en l’air".Pour plus d’informations

Petitoiseau si tu n'as pas d'aile 2 655 vues. Tu peux pas voler. Envoyé par Djeez le 28 octobre 2017 à 20h08 Précédent. Touche Q ou GAUCHE pour passer au fichier

Analysons les diffĂ©rentes politiques de ce monde par un exemple nous avons deux vaches. Socialisme Tu as 2 vaches et tu en donnes une Ă  ton voisin qui n'en a pas. Communisme Tu as 2 vaches, le gouvernement les rĂ©quisitionne toutes les deux et te donne un peu de lait. Fascisme Tu as 2 vaches, le gouvernement les rĂ©quisitionne toutes les deux et te vend le lait. Nazisme Tu as 2 vaches, le gouvernement les rĂ©quisitionne toutes les deux et ensuite te fusille. Bureaucratie Tu as 2 vaches, le gouvernement les rĂ©quisitionne toutes les deux, en abat une, trait l'autre, et jette le lait... Capitalisme Tu as 2 vaches. Tu en Ă©changes une contre un taureau. GrĂące Ă  lui, tu Ă©lĂšves tout un troupeau de vaches. Tu les vends toutes via internet sur et tu vis de tes rentes jusqu'Ă  la fin de tes jours. SystĂšme japonais Tu as 2 vaches. Tu les manipules gĂ©nĂ©tiquement afin qu'elles deviennent 10 fois plus petites, et qu'elles produisent 20 fois plus de lait. Tu créés tes propres cartons de lait les Vachimons-Z et tu inondes le marchĂ© mondial. SystĂšme allemand Tu as 2 vaches. Tu les manipules gĂ©nĂ©tiquement pour que ça en devienne 100, qu'elles ne doivent manger qu'une fois par mois et qu'elles sachent se traire elles-mĂȘmes. SystĂšme britannique Tu as 2 vaches. Elles sont folles toutes les deux. SystĂšme italien Tu as 2 vaches, mais tu ne sais pas trĂšs bien oĂč exactement... Et maintenant tu vas manger tes spaghettis. SystĂšme russe Tu as 2 vaches. Tu les comptes et tu te rends compte que tu en as en rĂ©alitĂ© 5. Tu re-comptes, et cette-fois tu en as 30. Tu comptes une derniĂšre fois et tu en vois 17. Tu arrĂȘtes de compter, et tu ouvres ta quatriĂšme bouteille de vodka de la matinĂ©e. SystĂšme amĂ©ricain Tu as 2 vaches, et ce sont les vaches les plus importantes du monde. SystĂšme suisse Tu as 500 vaches mais aucune ne t'appartient. Tu gagnes de l'argent en les gardant chez toi pour un Ă©tranger "anonyme". SystĂšme indien Tu as 2 vaches et tu les vĂ©nĂšres. SystĂšme chinois Tu as 2 vaches. 300 personnes les traient quotidiennement. Tu prĂ©tends avoir un taux de chĂŽmage nul, et une productivitĂ© bovine maximale. Tu exĂ©cutes le journaliste responsable de la fuite des chiffres rĂ©els. SystĂšme français Tu as 2 vaches. Tu te mets en grĂšve parce que tu en veux 3.
Lessoins que vous allez devoir lui prodiguer dĂ©pendront de la lĂ©sion dont souffre l'oiseau. Si il saigne, le premier pas sera de dĂ©sinfecter et d'arrĂȘter l'hĂ©morragie. Nettoyez la blessure en utilisant un coton-tige ou un coton imbibĂ© d'eau oxygĂ©nĂ©e, pour se faire, tapotez doucement la blessure de son aile avec votre coton. SciencesOiseau Dans une nouvelle Ă©tude publiĂ©e dans Science, des chercheurs chinois dĂ©crivent 11 spĂ©cimens d’oiseaux fossiles dĂ©couverts dans le nord-ouest de leur pays. Mais ceux-ci prĂ©sentent une particularitĂ© leurs pattes arriĂšre sont dotĂ©es de plumes suggĂ©rant un possible rĂŽle dans le vol, complĂ©mentaire de celui des ailes normales’. © Certains oiseaux fossiles Ă©taient-ils dotĂ©s d’une double paire d’ailes ?Si plusieurs spĂ©cimens d'oiseaux fossiles ont Ă©tĂ© dĂ©couverts au cours des annĂ©es prĂ©cĂ©dentes, on est encore loin de tout connaitre au sujet de ces animaux antiques. Et une nouvelle trouvaille rĂ©alisĂ©e par des chercheurs chinois vient tout juste de le confirmer Ă  nouveau. Sur un site de la province du Liaoning nord-ouest de la Chine bien connu pour avoir remarquablement conservĂ© de nombreux fossiles datant d’une pĂ©riode situĂ©e Ă  cheval sur le Jurassique et le CrĂ©tacĂ© -150 Ă  -125 Ma, ils ont mis au jour 11 spĂ©cimens tout Ă  fait par l’équipe du palĂ©ontologue Xing Xu, ces oiseaux du MĂ©sozoĂŻque montrent des pattes arriĂšres garnies de plumes relativement dĂ©veloppĂ©es, suggĂ©rant que ces spĂ©cimens n'Ă©taient pas dotĂ©s d'une seule paire d'ailes comme les autres mais bien de deux paires. "Nous savions que des dinosaures volants comme le microraptor avaient quatre ailes. La prĂ©sence de plumes sur les pattes arriĂšre d'oiseaux primitifs est en revanche une vraie nouveautĂ© mĂȘme si ce n'est pas une complĂšte surprise", explique Pascal Godefroit, de l'Institut royal belge des sciences le terme de "biplan" ce type d’avions anciens aux 2 paires d’ailes superposĂ©es ne semble pas coller exactement Ă  la silhouette que devaient avoir ces oiseaux, l'anatomie de ces ailes poussent les scientifiques chinois Ă  envisager un mode de vol utilisant les membres postĂ©rieurs en complĂ©ment du battement des vĂ©ritables ailes. Plus prĂ©cisĂ©ment, Xing Xu estime que ces ailes’ postĂ©rieures auraient pu aider les volatiles Ă  stabiliser leur vol. NĂ©anmoins, cette thĂšse ne peut pour l'heure ĂȘtre Ă©tayĂ©e par des Ă©lĂ©ments de biomĂ©canique. Des "ailes" d'ornement ? C’est pourquoi d’autres chercheurs - non directement impliquĂ©s dans l’étude - suggĂšrent plutĂŽt un rĂŽle ornemental pour cette voilure’ postĂ©rieure supplĂ©mentaire, peut-ĂȘtre utilisĂ©e lors des parades nuptiales, par exemple. Certains palĂ©ontologues supposent en outre qu’elle aurait pu ĂȘtre un attribut plus encombrant qu’utile durant le vol, pour ces oiseaux aujourd’hui disparus. Toutefois, de l’avis gĂ©nĂ©ral, cette dĂ©couverte confirme l’étroite parentĂ© entre dinosaures, oiseaux primitifs et oiseaux actuels."Cela renforce l'idĂ©e actuelle qu'il y a un vĂ©ritable continuum Ă©volutif entre les petit dinosaures carnivores et les oiseaux. Il devient d'ailleurs de plus en plus difficile d'Ă©tablir une distinction claire entre dinosaures et oiseaux", ajoute Pascal Godefroit citĂ© par le photo Science/AAAS
AprĂšsla premiĂšre taille, vous pourrez tailler les ailes vous-mĂȘme dans le futur. Cependant, si vous ne vous sentez pas sĂ»r de vous, vous pouvez le ramener chez le vĂ©tĂ©rinaire. Il ne vaut pas la peine de prendre le risque de blesser votre oiseau. 2. Trouvez le bon environnement.
Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau coffret Ultra Premium ... Voir le deal Horses of legend Accueil Archives Archive des histoires Ère des DĂ©mons Aller Ă  la fin de la page 2 participantsAuteurMessageAdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Le soir, les oiseaux chantent ... Ven 23 Avr 2010 - 229 Le ciel c'Ă©tait d'abord teintĂ© d'orangĂ©, puis il c'Ă©tait considĂ©rablement assombrit jusqu'Ă  ne plus ĂȘtre qu'un grand ruban noir parsemĂ© d'Ă©toiles. La tempĂ©rature, partout sur l'Ăźle sauf dans la forĂȘt tropicale des terres de la terre, avait diminuĂ©e de quelques degrĂ©s. Les petits animaux que l'ont croisait dans les forĂȘts avaient changĂ©s de nature. Ce n'Ă©tait plus de jolis oiseaux colorĂ©s et des lapins, mais des chouettes hululant et des gerboises effrayĂ©es. Le petit monde de la nuit avait prit sa place alors que les ĂȘtres diurnes Ă©taient allĂ©s rejoindre leur couche. MĂȘme ici, dans les terres de feu, l'atmosphĂšre avait changĂ©. Bien qu'il n'y ait pas d'animaux pour attester du rĂ©el changement, la tempĂ©rature qui baissait drastiquement Ă©tait un indicateur assez convainquant ... si on oubliait le fait qu'il faisait noir, bien Ă©tait lĂ . Sa belle robe acajou s'Ă©tait assombris avec le manque de lumiĂšre et semblait noire. Ses yeux pommes reflĂ©taient Ă  merveille la lueur des Ă©toiles, faisant briller ses deux points dans la nuit. La chaleur, encore forte comme celle d'une journĂ©e d'Ă©tĂ© bien chaude, la faisait frĂ©mir. Elle n,avait pas froid, bien sĂ»r, car sa peau Ă©tait habituĂ©e aux tempĂ©ratures plutĂŽt glaciales de l'ocĂ©an, mais le contraire absolu lui faisait un drĂŽle d'effet. Lors de ses nombreuses visites en ces terres, elle ne c'Ă©tait jamais approchĂ©e aussi prĂšs de la grotte, car ça fourmillait de Honoo lĂ -bas. Pas qu'elle ne les aimaient pas, seulement elle savait qu'ils n'Ă©taient pas toujours accueillants. Aujourd'hui, elle c'Ă©tait forcĂ©e Ă  aller plus loin, car elle avait soif de dĂ©couvrir le monde au complet .. mais son monde seulement, soit l'Ăźle de HL. AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Ven 23 Avr 2010 - 1635 Une sensation de mouvement le tira de ses rĂȘveries. Son sommeil n'Ă©tant pas profond, il se rĂ©veillait facilement. Quand il ouvrit les yeux, il remarqua que la nuit Ă©tait dĂ©jĂ  lĂ . Ce n'est pas un gros dormeur non plus car il avait l'habitude de dormir seulement moins de 5 heures, ce qui suffisait amplement pour lui. Soudain, il entendit des pas, et redressa la tĂȘte pour mieux voir. L'apprenti remarqua une forme sombre Ă  quelques longueur de chevaux de lui. Il se dit que s'Ă©tait tout un autre qui n'arrivait pas Ă  trouver le sommeil. Il se recoucha un instant quand le doute trotta dans sa tĂȘte. Est-ce bien quelqu'un du clan ? AgacĂ© de s'ĂȘtre posĂ© la question, il fouetta de la queue, soulevant un peu de cendres de l'incendie. Il pensait Ă  "tueur" maintenant, ce cheval-dragon qui avait bien failli le tuer par son venin. il repensait au combat, se remettant en tĂȘte chaque mouvement de son corps et de celui de l'autre, chaque douleur et fiertĂ© qu'il avait reçu... chaque instant... chaque secondes ... il jeta un oeil Ă  sa blessure au garrot, et quand il vit la plante dĂ©passer de la plaie, il soupira de mĂ©contentement. Il allait devoir retirer l'antidote pour ne pas que ça le gĂȘne maintenant qu'il Ă©tait guĂ©ri du poison. Mais le problĂšme, c'est qu'elle Ă©tait au niveau du garrot. un endroit impossible Ă  toucher pour un Ara posa son regard vers la silhouette sombre.*et si j'allais lui demander de me la retirer ? aprĂšs, tout je n'aurais pas Ă  le rĂ©veiller... *Le mĂąle bai se leva, tant bien que mal. DĂšs qu'il fut debout, il sentit la chaleur quitter son corps, puis un frisson le parcourue. Quand il fit un pas, il ressentit aussitĂŽt une gĂȘne au niveau du garrot la plante Ă©tait toujours sur la plaie, collĂ© par le sang sĂ©chĂ©. Il resta immobile, rĂ©flĂ©chissant Ă  un autre moyen que de la retirer par quelqu'un d'autre. Il s'Ă©broua, secouant tout son corps mais la plante ne bougea pas d'un poil. Il n'essaya pas de la retirer avec ses dents puisqu'il savait que ça n'allait pas marcher. Regardant de nouveau la silhouette, il remarqua une bille verte pomme montrant ainsi la tĂȘte, il s'y interressa, se demandant de qui il pouvait s'agir pour avoir de tels yeux. Ara vit aussi la queue ressemblant fortement Ă  celle d'un cheval de mer. Soudain un lĂ©ger courant d'air, lui apporta une odeur particuliĂšre. Il avait reçu un nouvelle indice de l'inconnu c'Ă©tait une fois-ci il Ă©tait bien dĂ©cidĂ© Ă  lui demander son aide. Il esquissa un petit sourire. Il prĂ©fĂ©rait les juments. elles qui sont si dĂ©licates...*j'espĂšre qu'elle n'a pas mauvais caractĂšre ...* Il marcha le plus discrĂštement possible. Tellement discret, qu'il entendait Ă  peine ses pas, telle un fĂ©lin Ă  l'affĂ»t de sa proie. Il allait dans le sens inverse de l'inconnue. Une fois derriĂšre elle Ă  quelques longueurs de lĂ , il croisa ses traces, et les suivit jusqu'Ă  l'inconnue dans le noir de la nuit,puis quand il arriva non loin de la jument, il ronfla des naseaux, suffisament fort pour qu'elle l'enttend. _________________+ Erynn & AltaĂŻr + Okazir + AlisterDerniĂšre Ă©dition par Ara le Mar 27 Avr 2010 - 2222, Ă©ditĂ© 2 fois AdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Dim 25 Avr 2010 - 329 DĂ©solĂ©e pour le premier post de trĂšs mauvaise qualitĂ© que j'ai postĂ©e .. j'Ă©tait pressĂ©e xDSes idĂ©es s'entremĂȘlaient. Alors qu'elle s'avançait silencieusement vers le seul lieu qu'elle n'avait jamais foulĂ©, elle repensait Ă  son passĂ©. Les lueurs d'espoirs qui avaient comblĂ©es ses journĂ©es alors qu'elle se dĂ©couvrait une libertĂ© nouvelle prĂ©dominaient dans ses songes, mais le vague souvenir de la disparition de son pĂšre et de l'emprisonnement par sa mĂšre laissaient une trace plus sanglante que prĂ©vue dans ses Ă©motions. Chaque fois qu'elle repensait Ă  la dĂ©sertion de son gĂ©niteur, car il ne mĂ©ritait plus d'ĂȘtre appelĂ© son pĂšre, une dĂ©ception puissante mĂ©langĂ©e d'une tristesse sourde crĂ©aient un vide dans son coeur. Puis quand elle repensait Ă  sa mĂšre, elle voyait immĂ©diatement la vallĂ©e dans la montagne oĂč elle avait Ă©tĂ© confinĂ©e durant tout son enfance et ça lui donnait de puissants haut-le-coeur. En clair, elle se considĂ©rait seule au monde et belle aquatique s'arrĂȘta un moment. Elle avait sentit quelque chose .. une odeur fugace, qui n'avait durĂ©e qu'un instant. Elle redressa les oreilles, Ă  l'affut de bruits suspects, et scruta la nuit de ses deux billes pommes. Lys eut Ă  peine le temps de comprendre qu'elle courrait peut-ĂȘtre un danger qu'un ronflement se fit entendre ... derriĂšre elle. Vivement, elle se retourna pour faire face Ă  l'inconnu, fouettant l'air de sa nageoire caudale. Le courant d'air que cela crĂ©a souleva une bonne quantitĂ© de cendres, l'empĂȘchant au premier coup d'oeil de voir l'autre cheval. Qui Ă©tait-ce ? De quel clan Ă©tait-il ? Quelles Ă©taient ses intentions ?Lorsque la nuit fut redevenue plus limpide, et que la baie pu enfin distinguer son interlocuteur, elle hoqueta silencieusement. Devant elle se tenait une licorne. Son odeur, maintenant en pleine puissance dans ses naseaux, le classait immĂ©diatement dans les Honoo, et la vague trace cuivrĂ©e indiquait la prĂ©sence de sang. Elle frĂ©mit. Frisson de peur ? Non. Elle aimait un peu trop les durs de dur, les gros mĂ©chants, les Honoo. Car ils Ă©taient le contraire parfait des Kuuki. Elle Ă©tait excitĂ©e Ă  l'idĂ©e d,enfin rencontrer un de ces monstres sanguinaires ... Certes, elle savait qu'ils n'Ă©taient pas tous pareil, que certains n'Ă©taient pas vraiment mĂ©chant ... mais bon, on peut toujours rĂȘver. Elle prit donc une posture neutre, son regard ouvert et doux habituel se posant dans les yeux du mĂąle. AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Dim 25 Avr 2010 - 1401 t'inquiĂšte, c'est pas grave ce n'est pas vraiment le plus important La licorne remarqua une autre odeur qu'il ne connaissait pas. Ara cligna des yeux et engagea la regardant d'un air perplexe l'inconnue il ajouta -Toi, tu n'es pas de mon clan ça c'est sĂ»r, et tu n'es pas sourde aussi. Au moins, ça m'a Ă©vitĂ© de devoir m'approcher d'avantage de toi, ce qui risquait fortement de t'effrayer...Ara la regardait d'un air posĂ©, et calme. Il ne ressentait pas de peur chez elle. Un lĂ©ger sourire se dessina. Il s'approcha tranquillement de la jument jusqu'Ă  ĂȘtre Ă  quelques centimĂštres d'elle. Il posa son regard interressĂ© sur ses yeux vert pomme puis l'examina de la tĂȘte au pied. Ara cherchait vite fait dans sa tĂȘte si il avait dĂ©jĂ  vu un cheval de mer. Tant de choses c'Ă©tait passĂ© entre sa naissance et ici ... des choses si sombres et si lumineuses Ă  la fois... qu'il abandonna trĂšs vite sa recherche, en repensant Ă  son passĂ©. Soudain, rĂ©atĂ©rissant pied sur terre, il remarqua qu'il Ă©tait toujours dans la petite lande, raremant dĂ©serte. Il jeta un oeil autour de lui, et seulement quand il fut certain qu'il n'y avait que eux deux, il continua -bon... Ă  la base c'Ă©tait pas pour te faire dĂ©guerpir que je suis venu vers toi. Mais je voulais savoir si tu pouvais me retirer ce truc affreux et gĂȘnant sur mon garrot... ne fais pas trop attention si j'ai mal ou pas... j'ai l'habitude Ă  force de me ramasser des coup et des morsures ... Ara pointa du regard la plante incrustĂ©e dans la plaie. Puis, il reposa ses yeux d'un regard doux dans ceux de la jument. Il ne voulais pas lui faire peur. Il voulais simplement la connaĂźtre mais au fond de son coeur, murmurait une vague qui l'incitait Ă  se coller Ă  la jument. Bien qu'il soit ferme avec lui mĂȘme, il rĂ©sista Ă  la tentation. _________________+ Erynn & AltaĂŻr + Okazir + Alister AdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Dim 25 Avr 2010 - 2024 La premiĂšre Ă©motion qui l'envahit aux paroles de l'inconnu fut la surprise. Il n'Ă©tait pas du tout comme les rares Honoo qu'elle avait dĂ©jĂ  rencontrĂ©s. Il Ă©tait mĂȘme plutĂŽt bavard, et ça fit remonter une vague envie de partir au galop trĂšs loin de cette licorne. Lys dĂ» se faire violence pour rester immobile et le laisser finir de parler. AprĂšs tout, c'Ă©tait un Honoo, alors il devait surement avoir quelque chose d'important Ă  lui dire pour parler autant en si peu de temps. Et en effet, il se rĂ©vĂ©la qu'il avait besoin de son aide pour retirer quelque chose de sur son garrot. La jument marine posa son regard sur l'endroit en question et dĂ©couvrit la source de l'odeur cuivrĂ© de plutĂŽt. Il avait bel et bien Ă©tĂ© blessĂ©. Elle sourit vaguement en coin. Visiblement, il ou quelqu'un avait utilisĂ© un remĂšde florale pour aider Ă  la guĂ©rison. Elle ronfla des naseaux. Elle Ă©tait une jument trĂšs fiĂšre, et cette demande spĂ©cial flattait son Ă©go ... bon, elle ne se prenait pas la tĂȘte pour autant hein !-J' mot seul dĂ©montrait une puissance, une fiertĂ© et un aura de mystĂšre. Last Kiss Ă©tait une beautĂ© de la lune, une belle mystĂ©rieuse. Elle s'avança, ne craignant pas un instant la corne effilĂ© du mĂąle. Elle attrapa la plante avec ses dents et tira brusquement dessus, question de ne pas le martyriser longtemps. Et alors qu'elle retirait les petits morceaux qu'y n'avaient pas suivis, elle reprit la parole de cette mĂȘme voix douce, mais teintĂ©e d'un quelque chose qui vous imposait le passant, je suis Last Kiss, Mizu par choix. AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Dim 25 Avr 2010 - 2048 Lorsqu'elle lui retira la plante, il sentit un violent spame de douleur mais il s'en moquait car il n'Ă©tait interressĂ© que par la jument. -merci. Alors c'est ça l'odeur des mizus ... bon bah je me coucherais avec une odeur en plus dans la tĂȘte maintenant !Puis il s'arrĂȘta un moment, remarquant qu'il ne s'Ă©tait pas Ara. C'est ainsi que je me nomme. Tu n'es pas un peu loin de chez toi par hasard ? c'est pas conseillĂ© d'ĂȘtre ici. surtout pour quelqu'un comme toi qui vient d'un autre clan que celui des esquissa un petit sourire lui donnant un air sadique. Observant le flanc de Lys, il ne put se retenir de le frĂŽler avec ses naseaux. Il pouvait enfin goĂ»ter Ă  la chaleur de son corps, mais juste une lichette. ça lui suffisait pour l' Erynn & AltaĂŻr + Okazir + Alister AdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Dim 25 Avr 2010 - 2201 Elle termina son travail avec un sentiment de satisfaction. Elle avait touchĂ© un Honoo. Pour elle, c'Ă©tait l'exploit de sa vie, excluant son tour du "monde". Elle avait Ă©coutĂ© les babillages de la licorne et le trouvait dĂ©finitivement trop bavard .. mais cette fois au moins, il faisait davantage preuve de mĂ©chancetĂ©, bien que celle-ci fut trĂšs bien cachĂ©e et Ă  peine prĂ©sente. Elle allait reculer et reprendre sa place initiale quand le dĂ©nommĂ© Ara posa ses naseaux et sa langue sur son flanc. Un vent de rĂ©volte de leva alors en elle. De quel droit ce pur inconnu, Honoo ou pas, la touchait ainsi sans sa permission ? Puis, la tempĂȘte se calma aussi vite qu'elle c'Ă©tait levĂ©e. Lys Ă©tait profondĂ©ment douce, une jument ouverte et aimante. Alors elle Ă©mit comme hypothĂšse qu'il voulait seulement la remercier et que mĂȘme les enfants du feu Ă©taient capables de gentillesses parfois. Elle souffla donc dans l'air ambiante et retourna face au mĂąle, sa longue queue reptilienne serpentant derriĂšre suis libre d'aller oĂč ça me plais. Et Ă  ma connaissance, il n'y a pas de guerre qui oppose les Honoo aux Mizu, alors j'ai le droit d'entrer vent chaud vint caresser la plaine autour d'eux. Certains Honoo se rĂ©veillaient, la nuit touchait dĂ©jĂ  Ă  sa fin. Il restait encore quelques heures Ă  la belle baie avant de devoir quitter la lande. Car la chaleur qui rĂ©gnait ici le jour Ă©tait trop intense pour elle, n'y Ă©tant pas habituĂ©e. Elle sourit vaguement en coin. Cette escapade nocturne Ă  la grotte n'avait pas Ă©tĂ© vaine finalement. AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Dim 25 Avr 2010 - 2225 Ara ne fut pas surpris d'entendre ces paroles. Quelqu'un qui est solitaire et qui explore tout les coins du monde, ça rĂ©veil forcement un vent de libertĂ©, se croyant hors d'atteinte et intouchable. Mais Ara savait trĂšs bien qu'il y avait toujours une frontiĂšre. Il le savait car il en avait fait l'expĂ©rience, dont rĂ©sultat Ă©tait un peu dĂ©cevant quand il s'Ă©tait aperçu un peu plus tard, qu'il y avait encore un autre frontiĂšre et ainsi de suite. Pour lui les vents des libertĂ© ne lui Ă©tait pas inconnu. Satisfait de la rĂ©action de Lys, il la regarda droit dans les yeux. Ara avait pensĂ© recevoir un coup de sabot de sa part mais Ă  sa grande surprise, il n'avait vu aucune rĂ©action vive de la part de la jument. C'Ă©tait dans ces habitudes de les taquiner ainsi, ça l'amusait beaucoup, et c'Ă©tait l'une des rare fois qu'une jument se laisser regard amusĂ© brillait dans ces yeux. Repenssant encore aux paroles de la jument de mer, Il apprĂ©ciait bien, ceux qui veulent ĂȘtre, que maĂźtre d'eux-mĂȘme, partant Ă  l'aventure... Se sentant Ă  l'aise Ă  cĂŽtĂ© d'elle, il Ă©tait tentĂ© de continuer Ă  la "taquiner". Alors il se risqua de lui titiller la croupe du bout de ses lĂšvres seulement. Il pensait bien recevoir une raclĂ©e de la part de Lys mais il s'en fichait totalement. Il voulais juste s'amuser avec elle, juste histoire de voir sa rĂ©action. Surtout qu'elle parraissait fiĂšre d'elle, du coup, ça le tentait encore plus ! _________________+ Erynn & AltaĂŻr + Okazir + Alister AdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Mar 27 Avr 2010 - 157 L'air de rĂ©chauffait en suivant une courbe exponentielle. Bien vite, les branchies de Lys s'ouvrirent pour laisser entrer et sortir plus d'air, favorisant ainsi le refroidissement de son corps. Comment faisaient-ils pour vivre dans une telle chaleur ? Durant tous ces voyages dans les terres de feu, elle y Ă©tait allĂ©e la nuit, lorsque la tempĂ©rature Ă©tait au plus bas ... sinon elle se rĂ©fugiait sous les ailes du gĂ©ant. Elle Ă©tait perdue dans ses pensĂ©es, s'enfonçant de plus en plus loin en suivant des liens incongrus. Elle y Ă©tait bien, dans sa bulle. Mais celle-ci Ă©clata violemment lorsque Ara posa ses babines sur sa croupe. Encore ? La belle des mers n'Ă©tait pas violente, elle dĂ©plorait cette technique, mĂȘme si elle avait un petit cĂŽtĂ© contradictoire qui la poussait Ă  aimer ceux qui savaient se dĂ©fendre. Elle n'allait alors quand mĂȘme pas la frapper ou le mordre. Elle choisit donc une mĂ©thode plus douce. Agitant sa longue queue, elle crĂ©a un courant d'air puissant qui vint fouetter les flancs de la licorne de feu, dans un geste agacĂ©, puis elle se dĂ©plaça d'abord sur le cĂŽtĂ©, puis elle marcha quelques pas vers un rocher. Mais la jeune Mizu n'Ă©tait pas dĂ©pourvue de moyen de dĂ©fense. AprĂšs tout, elle avait son petit secret Ă  elle qui pourrait bien lui ĂȘtre utile si ce Honoo ne la laissait pas tranquille. Pas qu'elle n'Ă©tait pas sociable, mais il y avait des limites aux familiaritĂ©s permises. AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Mar 27 Avr 2010 - 1322 Il Ă©tait un peu dans ses pensĂ©es lorsqu'il sentit le courant d'air le faire frissonner. L'apprenti s'Ă©carta par rĂ©flexe. Il n'Ă©tait pas habituĂ© Ă  taquiner une jument aussi douce. le mĂąle bai, la laissa s'Ă©loigner de lui. Le soleil n'Ă©tait mĂȘme pas encore levĂ© mais on voyait suffisament bien pour se distinguer. et Ara pouvais sentir la chaleur du jour arriver. Immobile, il ferma les yeux pour mieux la savourait. Quand il les ouvrit, il remarqua enfin la vraie couleur de la jument des mers. Il n'en avait jamais vu d'aussi belle. Ara allait la suivre quand une idĂ©e lui traversa l'esprit. Il esquissa un lĂ©ger sourire, puis il lui tourna carrĂ©ment le dos pour aller autre part, Ă  la recherche d'occupation, comme si il ignorais la jument Ă  la robe extraordinaire. Une petite bourrasque de vent souleva la cendre de l'incendie d'hier, crĂ©ant ainsi un gros nuage. On y voyait juste la forme sombre d'Ara. Soudain, une lueur rougeatre apparut sur sa corne et une lape de gaz incandescent, sortait d'elle en colone. Le gaz n'Ă©tait toujours pas enflammĂ©. La licorne scruttait l'horizon. Il avait besoin de se nourrir par le feu, car mĂȘme aprĂšs un long somme, il n'avait pas suffisament rĂ©cupĂ©rĂ© de son combat avec tueur. RepĂ©rant un arbre mort non loin de la jument, il dirigea la petite lape de gaz jusqu'au tronc. Une fois arrivĂ© au pied de l'arbre, il l'enflamma sans se soucier de Lys qui Ă©tait Ă  quelques longueur de l'arbre. Puis il s'approcha tranquillement du foyer, et planta sa corne dans le tronc enflammĂ©. Il ferma les yeux pour mieux ce concentrer sur l'Ă©nergie du feu. Ainsi, les flammes se faisaient aspirer par la corne en tournant autour d'elle. Il ne lui restait que quelques minutes Ă  restait comme ceci. AprĂšs, il pourra faire ce qu'il voudra, sans devoir se soucier de sa vitalitĂ©. _________________+ Erynn & AltaĂŻr + Okazir + AlisterDerniĂšre Ă©dition par Ara le Mer 28 Avr 2010 - 1633, Ă©ditĂ© 2 fois AdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Mer 28 Avr 2010 - 125 C'est pas encore le jour sinon Lys pourrait pas rester lĂ Les Ă©toiles commençaient Ă  disparaitre dans le ciel .. bientĂŽt l'horizon se colorerait de rose et d'orange. De rares oiseaux commençaient Ă  survoler la zone, pour le peu de temps qu'ils avaient Ă  pouvoir supporter la chaleur du lieu. La vie reprenait lĂ  oĂč elle s'Ă©tait arrĂȘtĂ©e la veille au soir. Tranquillement, les chevaux du clan Honoo s'Ă©veillaient et quittaient la lande et la grotte pour partir Ă  la recherche de proies ou d'herbe comestible. La plupart la dĂ©visageait, l'air de dire "qu'est-ce qu'elle fait lĂ  elle ?". Les autres la regardaient aussi mais d'une façon dĂ©sintĂ©ressĂ©. Last Kiss allait dĂ©cider de partir, trouvant la chaleur de plus en plus insoutenable, lorsqu'elle fut envahie d'une peur soudaine. Une fumĂ©e semi-transparente lĂ©chait le sol. Elle semblait se diriger prĂ©cisĂ©ment vers l'arbre le plus prĂšs d'elle. À peine eut-elle le temps de faire un bond de cĂŽtĂ© que celui-ci s'enflamma brusquement. La jument des mers posa ses yeux pommes effrayĂ©s sur l'arbre et flamme. Elle vit Ara s'en approcher et aspirer les flammes par sa corne. Elle ne dit rien. Elle Ă©tait paralysĂ©e de stupeur. Comment une telle chose se pouvait-elle ? Il semblait ... se nourrir du feu ? Était-ce lui qui avait provoquĂ© l'incendie ? AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Mer 28 Avr 2010 - 1648 En mĂȘme temps qu'il inspirait, des Ă©tincelles sintillaient autour de la corne. Les yeux fermĂ©s, il ne pensait qu'Ă  la chaleur du feu. Ceci l'appaisait. Les autres Honoos qui passaient non loin de lui, jetaient un regard curieux, oĂč soit du genre "toi tu sens la bĂȘtise !" oĂč alors, aucun regard. Les flammes diminuĂšrent de volume jusqu'Ă  s'Ă©teindre sur la corne d'Ara. Ce dernier la retira du tronc en braise. Son regard de tout Ă  fait neutre fixait la jument pĂ©trifiĂ© de stupeur. Il passa Ă  cĂŽtĂ© d'elle, l'encolure arquĂ©, les yeux rivĂ©s le sol, et donna un coup de queue en plein dans la tĂȘte de la jument. Ara ricanait sans se retenir en continuant son chemin. Il adore se moquer des gens. Surtout ceux qui sont fiĂšre ! Au moins, c'Ă©tait signe qu'il Ă©tait de bonne humeur. Et c'Ă©tait plutĂŽt rare aprĂšs une dĂ©faite. Mais la venu de Lys, lui avait un peu remonter le morale. Satisfait de son geste, il pensait au moment oĂč ils Ă©taient cĂŽte Ă  cĂŽte quand il lui avait fait une lĂ©chouille amicale ... _________________+ Erynn & AltaĂŻr + Okazir + AlisterDerniĂšre Ă©dition par Ara le Dim 2 Mai 2010 - 052, Ă©ditĂ© 2 fois AdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Jeu 29 Avr 2010 - 100 Lys se secoua de tout son long, sortant de sa stupeur juste pour recevoir une queue en plein visage. Une chance que ce n'Ă©tait que des crins, et non une queue de reptile comme la sienne. Mais quand mĂȘme, ce fut un geste de trop. Ou peut-ĂȘtre qu'en fait, se fut le geste dĂ©cisif ? Qui sait ... L'horizon commençait justement Ă  se teinter des couleurs de l'aube et une bourrasque brulante vint caresser son encolure, dĂ©nudĂ©e de crins Ă  faire voler, et soulever sa tresse de perle. Immobile, la jument des mers semblait pĂ©trifiĂ©e par une quelconque terreur ou un quelconque sortilĂšge. Mais en fait, elle Ă©tait plongĂ©e dans une rĂ©flexion intense Ă  savoir si elle devait se servir de son pouvoir pour lui donner une leçon de savoir-vivre, pour le remettre Ă  sa place, ou si elle ne devait que partir. Son cĂŽtĂ© "anti-violence" lui criait de partir, de galoper rejoindre la mer pour aller prendre du sommeil sur l'Ăźle avant de retourner se balader dans les terres moins chaudes. Mais son cĂŽtĂ© rebelle, celui qui aimait les gros durs, la poussait Ă  attaquer ... Puis elle se rappela les circonstances de leur rencontre .. la plante .. la plaie .. elle imagina la bataille. La belle mystĂ©rieuse ne pouvait tout simplement pas jouer avec ses Ă©motions, et c'est le cas de le dire, aprĂšs se qu'il venait de vivre. Elle n'Ă©tait pas une Honoo, elle n'avait pas Ă  le tester ... Alors elle dĂ©cida simplement de partir, un point c'est tout. Mais elle pouvait bien s'amuser un peu avant non ?Se remettant en mouvement, la jument commença par faire quelques pas. Elle ressemblait Ă  une statut d'Ă©tain qui se dĂ©lie les jambes aprĂšs des siĂšcles sans bouger. Doucement, elle humait l'air avec le soucis d'imprĂ©gner l'odeur de l'endroit profondĂ©ment dans sa mĂ©moire. Puis elle baissa sa tĂȘte, toucha le sol de ses naseaux, et le glissa sur le sol, au travers des cendres, alors qu'elle continuait Ă  avancer. Puis, comme dans une scĂšne de film au ralentit, la Mizu releva la tĂȘte fiĂšrement et partit dans un galop rassemblĂ© et magnifique, sa queue ondulant derriĂšre elle tel les vagues de la mer en colĂšre. Elle passa prĂšs d'Ara et, sans y penser rĂ©ellement, lui administra un coup de queue sur la croupe ... au mĂȘme moment, toujours comme dans un ralentit, elle releva Ă  peine la tĂȘte de son rassemblĂ©, posant ses yeux pommes, illuminĂ©s par le premier rayon de soleil de la journĂ©e, sur la licorne de feu. Un lĂ©ger sourire, qu'on pourrait dĂ©crire comme narquois, fier ou simplement mystĂ©rieux, se dessina sur ses fines lĂšvres alors qu'elle le dĂ©passait, toujours dans ce galop magnifique avec le soleil naissant faisant briller sa raie d'Ă©cailles. AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Jeu 29 Avr 2010 - 1319 La tĂȘte Ă  hauteur de croupe, toujours au pas, Ara fixait le sol jonchĂ© de caillasse et de cendre lui rapellant son passĂ©. Ses rires s'Ă©taient Ă©vanoui laissant la place Ă  se qu'il imaginait. C'Ă©tait dans un noir total. Puis un immense incendie. Le sol ressemblait un peu Ă  celui de la petite lande Ă  la seule diffĂ©rences, Ă  la place place des cailloux c'Ă©tait des bouts de bois calcinĂ©s. Il voyait le feu dĂ©vorant de rage et de haine, le regard apeurĂ©, cherchant la sortie de l'enfer. La licorne se remĂ©mora la scĂšne et la douleur Ă  la nuque qu'il avait senti il y a de cela bien longtemps... trop longtemps pour se souvenir exactement ce qu'il s'Ă©tait passĂ©. Il ferma les yeux pour tenter de refermer la porte de se passĂ© sĂ©vĂšrement sombre et douloureux, mais ça ne marchat pas. Le cri stridant de douleur de sa mĂšre lui renvint aux oreilles. Il en Ă©tait Ă  lĂ  quand il reçu un coup sur la croupe. Il sursauta de surprise. ça l'avait remis sur le sol du prĂ©sent. Ara dĂ©visagea Lys avec un air perplexe. Sur sa tĂȘte redressĂ©, l'une de ses oreilles Ă©tait lĂ©gĂšrement baissĂ© par apport Ă  l'autre, et ses yeux reflettaient de la surprise totale. Il resta immobile quelques secondes, tout observant la jument pris dans ses foulĂ©es rassemblĂ©es. Le coup de queue qu'il lui avait flanquĂ©. En y pensant, il la rejoignit au trot, secouant sa tĂȘte et son encolure dans tout les sens, ronflant des naseaux, la criniĂšre dansant sur son encolure. Il ne voulais pas qu'elle parte, ça lui faisait un peu de compagnie, surtout qu'il ne pouvais pas aller plus loin que la petite lande car il Ă©tait encore apprenti. De plus, il avait rĂ©ouvert la porte de son passĂ© entre temps, sans vraiment le vouloir, et ça lui avait brisĂ© le hennit doucement pour appeller la jument. Quand il arriva Ă  sa hauteur, il posa son regard doux sur ...Son regard reflettait une lueur de supplice, il ne supporter pas rester coincĂ© dans endroit aussi petit. Sa gorge se serra, comme si une boule Ă©tait restĂ©e coincĂ© dedans, lui faisant monter des larmes. Celles-ci ne coulĂšrent pas. Ara n'Ă©tait pas du genre Ă  pleurer, ni Ă  supplier d'ailleurs. Ni Ă  baisser la tĂȘte, Ă  abandonner face au problĂšme de la vie. Il avait une volontĂ© de fer, et ne se laissait jamais abattre par le chagrin. C'est un solitaire qui a besoin de solitude ou de monde que lorsqu'il en a besoin. Seul, dans une cage invisible, tenaillĂ© par des chaĂźnes imaginaires, il ne pouvait supporter. La seule chose qu'il dĂ©sirait Ă©tait une douce caresse . La derniĂšre qu'il avait eu remontait Ă  trop longtemps, l'obligeant Ă  ouvrir la porte de son passĂ© pour s'en Erynn & AltaĂŻr + Okazir + AlisterDerniĂšre Ă©dition par Ara le Dim 2 Mai 2010 - 106, Ă©ditĂ© 1 fois AdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Sam 1 Mai 2010 - 023 Ses foulĂ©s c'Ă©taient Ă©tendues, elle galopait avec le vent. TrĂšs loin devant elle, une ligne bleue lui indiquait son domaine. L'ocĂ©an. Elle se voyait dĂ©jĂ  sauter sans peur d'un haut de la falaise pour aller plonger dans l'eau salĂ©e en contre-bas. Elle galopait librement, comme seul les vagues peuvent le faire. Sa queue, Ă  dĂ©faut d'avoir des crins, claquait dans l'air comme les voiles des bateaux bipĂšdes. Ses Ă©cailles brillait dans le soleil qui montait de plus en plus rapidement Ă  l'horizon. Elle semblait partie pour toujours, partie pour ne pas revenir, partie pour ne pas s'arrĂȘter. Ce genre de course folle, elle en avait eu dans sa vallĂ©e natale. Mais la diffĂ©rence avec l'instant prĂ©sent Ă©tait la certitude qu'elle ne devrait pas s'arrĂȘter aprĂšs un kilomĂštre. Elle Ă©tait libre d,aller oĂč bon lui semblait, et personne ne pouvait lui mettre des chaines aux hennissement freina son Ă©lan. DĂ©stabilisĂ©e, elle ralentit l'allure et Ă©tendit son encolure, regardant derriĂšre elle. Ara. Il arrivait au trot. Il la rejoignit assez facilement. Son attitude Ă©tait si ... imprĂ©visible. Un moment il Ă©tait trop gentil et bavard, l'autre d'aprĂšs il jouait le mĂ©chant indiffĂ©rent, et maintenant il la suppliait presque de ne pas partir. Était-il dĂ©sespĂ©rĂ© au point d'oublier qu'elle ne pouvait pas supporter la chaleur naissante du jour ? C'est vrai .. ce n'Ă©tait encore qu'un apprentis. Elle soupira et secoua sa tĂȘte fine, comme pour lui faire signe que non. Alors qu'elle allait ouvrir ses lĂšvres pour lui rĂ©pondre, un de ses sabots buta contre une roche volcanique. Son corps Ă©tant entrainĂ© vers l'avant dans une idĂ©e de poursuite de son mouvement, elle amorça un mouvement de chute. Dans un instinct de survie, elle replia sa tĂȘte contre son poitrail et ses antĂ©rieurs contre son ventre. Elle plongea, son encolure contacta le sol, ses Ă©cailles glissĂšrent sur le sol noir et son dos vint s'Ă©craser au sol dans un son mat et un couinement de douleur. Autour d'elle gravitait un nuage de poussiĂšre volcanique. AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Sam 1 Mai 2010 - 1223 Quand il vit Lys tomber il eu un mouvement d'accĂ©lĂ©ration, passant au galop. Il la rejoignit dans le nuage de poussiĂšre que la chute avait levĂ©. Son regard Ă©tait pris de surprise, et ses oreilles s'Ă©taient redressĂ©es. Quand il arriva Ă  cĂŽtĂ© de la jument, il baissa la tĂȘte pour toucher ses naseaux contre les siens. Un sourire doux se dessina sur sa prochaine fois que tu viens ici tu t'arrĂȘteras pour regarder derriĂšre avait tout Ă  fait raison car le terrain Ă©tait jonchĂ© de de caillasse volcanique suffisament grosse pour se tordre une patte ou tomber. Ici, il Ă©tait conseillĂ© de regarder oĂč on met les pieds. Il donna un petit coup de nez sur l'encolure de la jument pour l'inciter Ă  se debout ! tu as du courage ? Alors ton Ă©tait encourageant, et calme. Le jeune bai ne pris pas la peine de vĂ©rifier si elle s'Ă©tait blessĂ©. Ara ne s'occupait pas de soigner les autres. D'autant plus qu'il se comportais souvent comme un lĂąche. Et pourtant, il resta prĂšs de la jument. Il l'apprĂ©ciait car il la trouvait particuliĂšrement douce. De plus, sa compagni ne le dĂ©rangeait pas du tout, et bien au contraire, ça l'arrangeait totalement. La licorne se surpris de se trouver heureux, du fait qu'elle ne soit pas parti. Mais il aurais prĂ©fĂ©rĂ© qu'elle s'arrĂȘte de sa propre volontĂ©. Quittant ses pensĂ©es, il remarqua que la jument de mer Ă©tait un peu affaibli par la chaleur. DĂ©cu qu'elle ne soit pas rĂ©sistante Ă  la tempĂ©rature habituel de ce coin, il se plaça de façon Ă  lui faire le plus d'ombre possible. C'Ă©tait la seule chose qu'il pouvait faire pour la rafraichir un peu. Il n'y avait pas de cours d'eau ici. et les cĂŽtes Ă©taient trop loin. Il sentait sa colĂšre lui monter aux oreilles. Ara n'apprĂ©ciait pas ĂȘtre coincĂ©. Surtout quand il ne pouvait pas atteindre lĂ  oĂč il voulait allez. Les oreilles couchĂ©es, le regard noir fixant un caillou, il frappa le sol avec son sabot soulevant un peut de Erynn & AltaĂŻr + Okazir + Alister AdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Sam 1 Mai 2010 - 1719 Son dos Ă©lançait. Elle soufflait fort, effrayĂ©e plus que blessĂ©e. Au travers de la cendre volcanique qui retombait lentement, la tĂȘte et l'avant-main d'Ara apparurent. Elle roula sur le cĂŽtĂ© et releva sa tĂȘte pour le regarder un moment. Il posa ses naseaux contre les siens ... et recula machinalement sa tĂȘte pour rompre le contact. Elle ne voulait pas. Il n'y avait pas lieu d'y avoir de tels tendresses entre eux alors qu'ils se connaissaient Ă  peine. Elle allait le chasser, lui rĂ©pliquer qu'il n'avait pas le droit de s'attacher ainsi Ă  elle. Mais il l'encouragea Ă  se relever. La belle des mers soupira. Elle jeta un coup d'oeil Ă  son antĂ©rieur qui avait heurtĂ© la pierre. Un mince filet de sang coulait le long de son canon, suintant d'une coupure fine au niveau du genou. Elle plia et dĂ©plia le membre, pour s'assurer que ses muscles Ă©taient en bon Ă©tat. Oui, tout fonctionnait pour le mieux. La baie se releva d'un bon. Une douleur la prit de cours, lui coupant le souffle. Son dos la faisait souffrir. Lys se força Ă  tourner sa tĂȘte pour vĂ©rifier si elle n'Ă©tait pas blessĂ©e. Tout allait bien vu de l'extĂ©rieur. Mais il serait bien de rentrer Ă  la maison pour aller se dĂ©lier les muscles dans l'eau salĂ©e. De plus, la chaleur la faisait maintenant transpirer Ă  grosses gouttes, malgrĂ© la pauvre tentative de la licorne de lui faire de l' ... je pars maintenant. Et n'essaie pas de me voix c'Ă©tait faite hypnotique, comme si elle cherchait Ă  lui imposer sa volontĂ©. En effet, elle avait manipulĂ© ses sentiments pour qu'il ressente le besoin de la laisser partir. Elle lui caressa l'encolure de sa nageoire au bout de sa queue, puis elle reprit son chemin au pas. Chaque fois qu'elle touchait le sol, un peu de la douleur de son dos disparaissait. Ainsi, au bout de quelques mĂštres, elle put prendre un galop lent mais magnifique. C'est ainsi qu'elle s'Ă©loigna de la lande et des terres de feu, laissant derriĂšre elle un sillage de lumiĂšre qui se reflĂ©tait sur ses Ă©cailles. AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Sam 1 Mai 2010 - 1746 Ara la laissa s'en aller. savourant le caresse de la belle des mers. Des secondes s'Ă©croulĂšrent, toujours immobile, le regard pensif. Il n'y avait pas un vent. Rien. Personne en vu. malgrĂ© le dernier geste de la jument, il sentait qu'il allait exploser de rage. Soudain, il se cabra brutalement en donnant un ample coup de corne dans le vide, poussant un hennissement de colĂšre. Ses yeux Ă©taient de couleur braise, le gaz qui sortait de sa corne montaient brutalement vers le haut en tourbillon. Ara frappa le sol de ses antĂ©rieurs et au mĂȘme moment, la colonne de gaz s'enflamma autour de lui. Sa colĂšre l'enflamma complĂštement. Il ressemblait maintenant Ă  une boule de feu. Ara resta immobile pendant quelques minutes pour se calmer. petit Ă  petit, les flammes et la colonne diminuĂšrent de volumes et tĂȘte Ă  hauteur de croupe, il marcha lentement Ă  la quĂȘte de victime. Son regard semblait neutre. ou plutĂŽt vide. Pour le moment seulement. Il voulait Ă  tout pris sortir de la cage invisible. Il ne savait pas trop par oĂč commencer, mais quand il pensa Ă  tueur, ou plutĂŽt aux paroles du cheval-dragon, il su aussitĂŽt quel chemin prendre pour briser les limites. Le dominant. Il avait pensĂ© Ă  le rencontrer pour briser les chaĂźnes et la cage invisible. Si il trouverait un autre moyen, il changerais d' s'en alla au galop, pour inspecter tout les coins du du topic_________________+ Erynn & AltaĂŻr + Okazir + Alister Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Retourner au dĂ©but de la page Page 1 sur 1Horses of legend Accueil Archives Archive des histoires Ère des DĂ©monsSauter vers

Cesoiseaux uniques sont d’excellents nageurs et peuvent mĂȘme voler sous l’eau. Lorsqu’ils chassent des poissons, ils plongent de la surface et nagent jusqu’à 18 mĂštres (60 pieds) de profondeur. Pour les aider Ă  rĂ©aliser cet exploit, leurs ailes sont spĂ©cialement adaptĂ©es pour agir comme des nageoires. 6. Le cygne noir

ï»żLe fait est que les oiseaux qui ne peuvent pas voler ne sont pas des anomalies. Il existe plus de 57 espĂšces aviaires qui n’ont pas la capacitĂ© de voler, mais qui restent ancrĂ©es pendant toute leur vie. Ces races aviaires comprennent les ratites, les oiseaux aquatiques, les grĂšbes, les commorans, les pingouins, les rĂąles et les perroquets en particulier, les kakapos. Les oiseaux incapables de voler ne connaĂźtront peut-ĂȘtre jamais la joie de voler, mais ils ont acquis des avantages au sol. Ces oiseaux ont des pattes plus fortes, des pieds puissants et un plumage adaptable. Leur structure corporelle est construite pour la survie. Liste des oiseaux incapables de voler dans le monde Les oiseaux incapables de voler se sont complĂštement adaptĂ©s Ă  leur environnement et savent comment survivre. Comme les oiseaux qui peuvent voler, ces oiseaux ont des ailes. Cependant, leurs ailes sont plus compactes et elles n’ont pas de base squelettique axiale. De toute Ă©vidence, les oiseaux sans capacitĂ© de vol sont des rĂ©sidents toute l’annĂ©e de leurs villes, villes, Ă©tats et pays. Leurs plumes les protĂšgent de la tempĂ©rature glaciale et isolent leur corps lors des manƓuvres dans l’eau. Dans cet article, nous prĂ©sentons une liste d’oiseaux qui ne peuvent pas voler. Chaque volaille a une image pour vous permettre de reconnaĂźtre plus facilement ces oiseaux incapables de voler. Oiseau 1 Pingouins Les pingouins n’ont pas la capacitĂ© de voler et ils ne savent pas non plus danser. Ce que les pingouins sont bons, c’est nager. Ils sont capables de rester sous l’eau pendant prĂšs de 30 minutes et leur vitesse de nage est incroyablement rapide 4 Ă  22 mph. Oiseau 2 Weka Si vous vous demandez combien d’oiseaux ne peuvent pas voler, la rĂ©ponse est des milliers. Et certains d’entre eux sont les weka. Ces oiseaux sont des charognards dans la nature et ils n’ont jamais peur de s’approcher des humains pour demander de la nourriture. Les wekas ont une apparence Ă©trange avec des yeux rouges. Oiseau 3 canards Ă  vapeur Il existe quatre espĂšces de canards Ă  vapeur, et aucune d’entre elles n’est capable de voler, peut-ĂȘtre en raison de son gĂšne DYRK1A. Mais malgrĂ© leur nature incapable de voler, ces oiseaux peuvent chasser les prĂ©dateurs. Oiseau 4 Autruche L’autruche est le plus grand oiseau incapable de voler au monde. Un gros oiseau de cette race peut peser 290 livres, ce qui rend bien sĂ»r impossible de voler. Les autruches ont de longues pattes qui leur permettent de courir Ă  43 mph. Cependant, l’état incapable de voler des autruches est le rĂ©sultat de l’évolution, car il y a longtemps, leurs ancĂȘtres ont choisi de rester au sol plutĂŽt que de voler. Oiseau 5 Kakapo Les kakapos sont Ă©galement connus sous le nom de perroquets hiboux. Ces oiseaux sont incapables de voler et il en reste moins de 200 dans le monde. Fait intĂ©ressant, ces oiseaux ont une odeur musquĂ©e mais douce. Oiseau 6 Kiwi La principale raison pour laquelle les kiwis ne peuvent pas voler est Ă  cause de leurs ailes d’un pouce. Ils rĂ©sident sur des Ăźles, et comme ces parties n’avaient pas de prĂ©dateurs dans le passĂ©, leurs ancĂȘtres ont dĂ©cidĂ© que leurs ailes n’avaient aucune utilitĂ©. Cependant, comme les Ăźles sont dĂ©sormais peuplĂ©es d’humains, la population de kiwis a diminuĂ©. Ceci est le rĂ©sultat de l’existence de mammifĂšres et de nouveaux prĂ©dateurs dans leur habitat naturel. Oiseau 7 Takahe Le takahe est de la famille des rails, qui n’a pas la capacitĂ© de voler. Cette espĂšce a des ailes courtes et de longs pieds et orteils, ce qui lui permet de vivre au sol toute sa vie. Les takahes sont vibrants, en particulier avec leur bec et leurs pattes cramoisis et leur poitrine, leur tĂȘte et leur cou bleu violacĂ©. Oiseau 8 Cormoran incapable de voler Certains oiseaux ne peuvent pas voler principalement parce qu’au fil des siĂšcles, ils ont perdu ce pouvoir, et les cormorans incapables de voler en font partie. Leurs ailes doivent ĂȘtre trois fois plus grandes pour voler. De plus, ils n’ont pas le dĂ©veloppement complet de la quille sur le sternum qui est essentiel pour voler. Cependant, ils sont passĂ©s maĂźtres dans la propulsion dans l’eau. Oiseau 9 Casoar Les casoars ont suivi l’autruche et l’émeu dans la liste des plus grands oiseaux du monde. Leur tĂȘte et leur cou bleus sont distinctifs, et leur physique massif, bien sĂ»r, rend le vol assez difficile. Ils ont une tĂȘte de mohawk, et certains peuvent les trouver terrifiants. En fait, Ă  une certaine Ă©poque, les casoars Ă©taient considĂ©rĂ©s comme l’oiseau le plus dangereux du monde. Oiseau 10 Sarcelle de l’üle Campbell Les sarcelles des Ăźles Campbell ne volent pas car elles habitent sur des Ăźles. Malheureusement, cette race spĂ©cifique d’oiseaux est presque Ă©teinte, mais les conservateurs de la faune essaient d’augmenter leur population Ă  l’état sauvage. Oiseau 11 Poule d’eau L’espĂšce originale de poule d’eau est originaire d’une Ăźle isolĂ©e appelĂ©e Tristan da Cunha. Mais leur population a Ă©tĂ© anĂ©antie au 19e siĂšcle, et une nouvelle race a Ă©mergĂ© de l’üle de Gough. Ces poules d’eau incapables de voler ne sont pas capables de voler en raison de leur physique trapu et de leurs ailes trapues, mais elles sont douĂ©es pour voyager d’une Ăźle Ă  l’autre. Oiseau 12 RĂąle de Guam Les rails de Guam sont extrĂȘmement bons pour courir, bien qu’ils ne puissent pas voler, malgrĂ© leur petit physique. Ces oiseaux sont menacĂ©s par leur principal prĂ©dateur, la couleuvre brune. Cette espĂšce est classĂ©e en danger critique d’extinction, bien qu’il y ait des efforts pour la conserver. Oiseau 13 Grand nandou Si on vous demande de nommer un oiseau incapable de voler qui est fascinant, vous devriez considĂ©rer les grands nandous. Ils ne sont pas monogames, contrairement aux humains, et les mĂąles incubent en fait les Ɠufs de leurs compagnes femelles. Oiseau 14 Marouette de l’üle Henderson Les crakes de l’üle Henderson ont de longues pattes orange et un plumage foncĂ©. Ces oiseaux incapables de voler vivent sur une Ăźle oĂč les dĂ©chets plastiques sont souvent collectĂ©s. Et parce qu’ils ne peuvent pas voler, ils vivent avec des ordures. Oiseau 15 Émeus L’émeu est l’un des incroyables oiseaux incapables de voler. Les Ă©meus sont un proche parent des autruches, mais ils ne sont pas aussi grands que leurs cousins. Leurs tĂȘtes sont un peu bleues et ils peuvent mesurer jusqu’à 6 pieds de haut. Les Ă©meus sont extrĂȘmement protecteurs envers leur famille. Oiseau 16 Foulque gĂ©ante Les foulques gĂ©antes sont grosses, et c’est la principale raison pour laquelle elles ne peuvent pas voler. Cette espĂšce est originaire d’AmĂ©rique du Sud et fait des nids sur l’eau, qu’elle rĂ©utilise souvent. La partie intĂ©ressante est que les jeunes foulques gĂ©antes peuvent voler, mais Ă  l’ñge adulte, elles perdent cette capacitĂ© en raison de leur physique robuste. Oiseau 17 Poulet Domestique Les poulets domestiques ont Ă©tĂ© ajoutĂ©s Ă  la liste des oiseaux incapables de voler car mĂȘme s’ils peuvent voler sur de trĂšs courtes distances, ils ne peuvent pas le faire pendant de plus longues pĂ©riodes. Ces oiseaux sont engraissĂ©s afin de produire plus de viande. Et donc avec leur poids habituel, ils ne sont pas capables de voler. Oiseau 18 Sarcelle des Ăźles Auckland Les sarcelles de l’üle d’Auckland sont des canards qui ne peuvent pas voler, et ils rĂ©sident dans des Ăźles oĂč il n’y a aucun prĂ©dateur. Ces oiseaux ont un plumage brun, une tache de vert sur la nuque et un cercle oculaire blanc. Ils ont aussi des ailes courtes. Oiseau 19 Scytalopus Les oiseaux scytalopus prospĂšrent dans les zones montagneuses et, bien qu’ils ne puissent pas voler, ils courent vite. Ils ont un physique robuste avec des queues courtes et un plumage gris Ă  noir. Ces petits oiseaux sont difficiles Ă  repĂ©rer dans une vĂ©gĂ©tation dense en raison de leur vitesse de course. Et grĂące Ă  cette compĂ©tence, ils rĂ©duisent leur risque d’extinction. Oiseau 20 Canard vapeur de Magellan Le canard Ă  vapeur de Magellan est un oiseau non volant qui est surtout connu sous le nom de canard Ă  vapeur de Fuegian. Cette espĂšce d’oiseau prĂ©fĂšre les rĂ©gions cĂŽtiĂšres et leur taille est assez grande. Ils peuvent peser jusqu’à 15 livres, ce qui rend le vol difficile. Cependant, leurs ailes sont parfaites pour pagayer. Oiseau 21 MĂ©site Brun Les mĂ©sites bruns sont des oiseaux non volants qui prospĂšrent dans les zones Ă©touffantes de la forĂȘt. Ils ont la capacitĂ© de camoufler leur prĂ©sence grĂące Ă  leur plumage brun. Ces oiseaux aiment rester cachĂ©s, ce qui pourrait ĂȘtre la raison pour laquelle ils ne volent pas. Mais bien sĂ»r, le physique gĂ©nĂ©ral des mĂ©sites bruns les rend incapables de voler. Oiseau 22 GrĂšbe Titicaca Si vous cherchez plus d’informations sur les oiseaux qui ne peuvent pas voler, vous devriez connaĂźtre le grĂšbe titicaca. Cette espĂšce a des ailes courtes et un ventre sombre. Et mĂȘme si les grĂšbes titicaca sont incapables de voler, ils sont exceptionnels et peuvent atteindre une vitesse de plongĂ©e de 2 nƓuds. Oiseau 23 Lord Howe Woodhens Les Lord Howe Woodhen font partie de la famille des chemins de fer. C’est une espĂšce trĂšs menacĂ©e, mais bien sĂ»r, ils essaient de vivre et de se multiplier. Les poules des bois n’ont qu’un seul compagnon pour toute leur durĂ©e de vie et elles sont de nature assez territoriale. Oiseau 24 Junin Grebe Les grĂšbes Junin sont des rĂ©sidents exclusifs du lac Junin, et ils sont reconnaissables grĂące Ă  leurs yeux rouges. Ils sont peu nombreux, mais ils continuent Ă  se reproduire pour augmenter leur population. En tant que crĂ©atures incapables de voler, les grĂšbes Junin mangent de minuscules poissons. Oiseau 25 Dinde blanche Ă  poitrine large L’oiseau incapable de voler avec le nom le plus long sur cette liste est la dinde blanche Ă  poitrine large. L’incapacitĂ© de cette volaille Ă  voler est causĂ©e par un systĂšme d’élevage sĂ©lectif. Ils sont faits pour avoir des poids plus Ă©levĂ©s et souffrent souvent de problĂšmes de santĂ© en consĂ©quence. Conclusion Les oiseaux qui ne peuvent pas voler comprennent les autruches, les pingouins, les grĂšbes, les rĂąles, les canards Ă  vapeur et bien d’autres. Ils ont Ă©voluĂ© vers une existence incapable de voler au fil des siĂšcles et peuvent maintenant survivre sans voler. Les oiseaux incapables de voler ne sont pas migrateurs et sont gĂ©nĂ©ralement plus grands que les oiseaux qui peuvent rĂ©ellement voler. Nous espĂ©rons que vous avez appris de nouvelles choses grĂące Ă  cet article. Merci de le partager avec vos amis et de nous dire ce que vous en pensez.

Petitoiseau si tu n'as pas d'aile. 56 660 J’aime · 132 en parlent. Ah tu peux pas voler ! Facebook. Adresse e-mail ou tĂ©lĂ©phone: Mot de passe: Informations de compte oubliĂ©es ?
Des exemples d’oiseaux qui portent chance comprennent le merle, le geai bleu, la mĂ©sange, la foulque et la grue. On pense que les oiseaux portent chance dans de nombreuses rĂ©gions du monde. DiffĂ©rents oiseaux ont des significations et des symboles diffĂ©rents, mais ils ont tous tendance Ă  partager un objectif commun le bonheur et la bonne chance. Jetons un coup d’Ɠil Ă  certains des oiseaux les plus chanceux et Ă  leurs significations associĂ©es. Nous explorerons Ă©galement certains des mythes et lĂ©gendes entourant ces crĂ©atures. Exemples d’oiseaux porte-bonheur 1. Merle noir Nom scientifique Turdus merula Type d’animal Oiseau Intervalle Europe, Afrique du Nord, Inde et sud de la Chine Le merle est Ă©galement considĂ©rĂ© comme un oiseau porteur de bonne fortune. Si vous entendez le premier cri du merle le matin en Grande-Bretagne, on dit que vous serez rĂ©compensĂ© par de l’amour ou de l’argent. Il est considĂ©rĂ© comme un symbole du printemps et de la renaissance en Allemagne. Article associĂ© 29 oiseaux qui savent nager 2. Geai bleu Nom scientifique Cyanocitta cristata Type d’animal Oiseau Intervalle la majeure partie de l’est et du centre des États-Unis Le geai bleu fait partie de la famille des corbeaux et est considĂ©rĂ© comme un bon prĂ©sage en AmĂ©rique du Nord si vous en voyez un. Ses plumes ont Ă©galement Ă©tĂ© utilisĂ©es dans les coiffes des AmĂ©rindiens pour cette raison. Article associĂ© 30 oiseaux qui volent vers le sud pour l’hiver 3. MĂ©sange Nom scientifique ParidĂ©s Type d’animal Oiseau Intervalle de la Nouvelle-Angleterre Ă  la cĂŽte ouest La mĂ©sange est un petit oiseau nord-amĂ©ricain connu pour son chant joyeux. On dit aussi que ce petit oiseau est porte-bonheur, car on pense qu’il apporte la bonne fortune Ă  ceux qui entendent son chant. Dans certaines traditions amĂ©rindiennes, la mĂ©sange est considĂ©rĂ©e comme un symbole d’espoir. 4. Foulque Nom scientifique Fulica Type d’animal Oiseau Intervalle Pendant l’étĂ©, ces oiseaux se trouvent centrĂ©s autour des lacs et des Ă©tangs d’eau douce du nord des États-Unis et du sud du Canada. Le Foulque macroule est un oiseau noir souvent associĂ© Ă  la malchance. Dans certaines parties du monde, il est considĂ©rĂ© comme un signe de mort. Cependant, dans d’autres cultures, la foulque est considĂ©rĂ©e comme un symbole de chance et de fertilitĂ©. En GrĂšce, la Foulque macroule est une espĂšce protĂ©gĂ©e car on croyait autrefois qu’elle portait chance au pays. La foulque est Ă©galement considĂ©rĂ©e comme un symbole de bonne fortune dans certaines parties de l’Asie. 5. Grue Nom scientifique GruidĂ©s Type d’animal Oiseau Intervalle presque tous les continents sauf l’Antarctique et l’AmĂ©rique du Sud La grue est peut-ĂȘtre l’oiseau porte-bonheur le plus connu. Cela pourrait ĂȘtre dĂ» Ă  la tradition chinoise de voir une grue avant qu’une tĂąche importante ne porte chance. Cependant, il ne se limite pas seulement Ă  la tradition chinoise ,car de nombreuses cultures partagent la conviction qu’une grue porte bonheur. 6. Coucou Nom scientifique CuculidĂ©s Type d’animal Oiseau Intervalle les AmĂ©riques, l’Europe, l’Asie, l’Afrique et l’Australie En Angleterre, le coucou est considĂ©rĂ© comme un signe de bonne chance pendant l’étĂ©. En France, si vous en entendez un sur le chemin du travail, cela signifie que le succĂšs et le bonheur viendront bien assez tĂŽt. Et enfin, en Autriche ou en Allemagne, on dit que cet oiseau apporte de la joie lorsqu’il est entendu par les auditeurs parce que ses appels ressemblent Ă  des notes de musique jouĂ©es doucement sur un piano faux sans intervention de personne d’autre autour d’eux – juste la nature elle-mĂȘme jouant sa mĂ©lodie sans aucune aide nĂ©cessaire. 7. Colombe Nom scientifique ColumbidĂ©s Type d’animal Oiseau Intervalle Certaines espĂšces ne vivent que dans les forĂȘts tropicales du BrĂ©sil, tandis que d’autres vivent dans les prairies et les prairies d’AmĂ©rique du Nord Dans le christianisme, les colombes reprĂ©sentent le Saint-Esprit. Dans les cultures orientales, ils sont connus pour ĂȘtre des symboles de paix et d’amour, mais aussi dans les croyances juives, cet oiseau tient une place importante car il a Ă©tĂ© utilisĂ© par Dieu lors du sacrifice de son fils unique qui a tout abandonnĂ© pour que d’autres puissent avoir la vie Ă©ternelle en croyant en Lui. 8. Aigle Nom scientifique AccipitridĂ©s Type d’animal Oiseau Intervalle de la toundra du nord aux forĂȘts tropicales humides et aux dĂ©serts L’aigle, en tant que maĂźtre des oiseaux, reprĂ©sente la force et le pouvoir. On pensait qu’en voir un prĂ©dirait la victoire dans la bataille pour les Indiens d’AmĂ©rique. Lorsqu’il est utilisĂ© dans l’art ou la littĂ©rature, il peut aussi signifier espoir, courage et vision. 9. Faucon Nom scientifique Falco Type d’animal Oiseau Intervalle presque partout sur la planĂšte Les faucons apportent la victoire et la chance dans le sport. Les anciens Égyptiens les considĂ©raient comme des prĂ©curseurs du printemps car c’est Ă  ce moment-lĂ  que leurs migrations ont commencĂ©. En voir un Ă©tait autrefois censĂ© protĂ©ger les morts et c’est toujours le cas pour la fauconnerie. 10. Flamant rose Nom scientifique PhĂ©nicoptĂšre Type d’animal Oiseau Intervalle Les flamants roses se trouvent dans certaines parties de l’Afrique, de l’Asie et de l’Europe On pense que les flamants roses ressemblent Ă  l’ancien dieu Ă©gyptien Anubis parce qu’ils se tiennent sur une jambe. On pense donc que trouver cet oiseau dans l’art ou la littĂ©rature apporte paix et tranquillitĂ©. On pensait aussi qu’il portait chance aux marins car on pensait qu’il les transportait au Pays des Morts ! C’est un signe d’amour dans certaines cultures car la couleur rose reprĂ©sente la passion. 11. CrĂȘte d’or Nom scientifique Regulus regulus Type d’animal Oiseau Intervalle Europe et Asie Ce petit oiseau est considĂ©rĂ© comme apportant bonheur et chance au Royaume-Uni. En Allemagne, on dit qu’il apporte la richesse, au Danemark, il protĂšge contre le feu, et en Belgique, en avoir un assure la santĂ© toute l’annĂ©e. Il est logique que le Goldcrest soit Ă©galement connu sous le nom de Fire Finch, car on croyait autrefois qu’en voir un dĂ©clencherait un incendie. 12. Chardonneret Nom scientifique Spinus tristis Type d’animal Oiseau Intervalle dans une grande partie de l’AmĂ©rique du Nord, sauf dans les forĂȘts profondes Dans de nombreuses cultures, dont l’italien, le nĂ©erlandais, l’autrichien, l’allemand et le suĂ©dois, le chardonneret est un signe de bonne chance. On dit aussi que si vous en avez un dans la main, aucun souhait ne restera insatisfait. 13. Oie Nom scientifique Branta canadensis canadensis Type d’animal Oiseau Intervalle lacs, Ă©tangs, ruisseaux, marais, zones humides, etc. Les oies sont des symboles de transformation et de vie Ă©ternelle dans de nombreuses cultures Ă  travers l’histoire. En voir un Ă©tait censĂ© signifier une continuation du temps ou de la sĂ©curitĂ© pendant un voyage. 14. Pie Nom scientifique Pica Pica Type d’animal Oiseau Intervalle rĂ©gions tempĂ©rĂ©es d’Europe, d’Asie et de l’ouest de l’AmĂ©rique du Nord, avec des populations Ă©galement prĂ©sentes au Tibet et dans les rĂ©gions de haute altitude du Cachemire Si vous voyez une pie en rentrant du travail, cela vous portera chance. Il est considĂ©rĂ© comme chanceux » de voir une pie blanche plutĂŽt qu’une pie noire au Royaume-Uni. Cependant, voir l’un ou l’autre est une chance car cela signifie que vous aurez de la chance pour les 12 prochains mois. 15. Hibou Nom scientifique Strigiformes Type d’animal Oiseau Intervalle partout dans le monde sauf l’Antarctique Cet oiseau de proie est associĂ© Ă  la mort et aux mauvais prĂ©sages dans l’hĂ©misphĂšre occidental. Les hiboux Ă©taient soit un symbole de sagesse, soit de stupiditĂ© dans la GrĂšce antique, selon qu’ils semblaient regarder ou dormir. 16. Paon Nom scientifique Pavo cristatus Type d’animal Oiseau Intervalle Inde et Sri Lanka Selon la lĂ©gende chrĂ©tienne, le paon a Ă©tĂ© créé quand Eve a pris une grosse bouchĂ©e d’une pomme et quand elle a crachĂ© les graines, il est devenu le bel oiseau Ă  plumes de pois. Selon la mythologie hindoue, cet oiseau transporte les Ăąmes au ciel aprĂšs la mort et est Ă©galement connu sous le nom de prĂ©dicateur » car son seul cri Ă©ternel proclame la vĂ©ritĂ© de la renaissance et de la rĂ©gĂ©nĂ©ration ». 17. Pigeon Nom scientifique ColumbidĂ©s Type d’animal Oiseau Intervalle autour des cours de ferme, des Ă©lĂ©vateurs Ă  grain, des meuneries, des parcs, des bĂątiments municipaux, des ponts et d’autres structures Le pigeon, comme la plupart des oiseaux, est associĂ© Ă  la paix et Ă  l’amour, mais les Japonais pensent qu’en voir un avant de partir en voyage garantit que vous rentrerez chez vous en toute sĂ©curitĂ©. Cela nous amĂšne en Chine, oĂč si l’on vient chez eux, on dit que cela leur porte chance pour toute l’annĂ©e. 18. Robin Nom scientifique Turdus migratorius Type d’animal Oiseau Intervalle boisĂ©s, arriĂšre-cours de banlieue, parcs et prairies avec arbustes Le Robin est un symbole de bonne chance dans un certain nombre de pays, dont le Royaume-Uni, les États-Unis et le Canada. L’oiseau est souvent considĂ©rĂ© comme un signe de printemps et de nouveaux dĂ©parts. Dans le folklore, le Robin est Ă©galement associĂ© au diable, mais cela est probablement dĂ» au fait que la poitrine rouge de l’oiseau Ă©tait autrefois considĂ©rĂ©e comme un signe de la marque du diable. 19. Robin Rouge-gorge Nom scientifique Erithacus rubecula Type d’animal Oiseau Intervalle bois, parcs et campagne boisĂ©e, et se trouvent Ă  la fois en Europe et en Asie Au Royaume-Uni, le rouge-gorge est considĂ©rĂ© comme un signe avant-coureur de bonne chance. C’est probablement parce que l’oiseau est si joyeux et que sa poitrine rouge vif est un signe de bonne santĂ©. Les rouges-gorges sont Ă©galement associĂ©s Ă  NoĂ«l, car ils sont souvent prĂ©sentĂ©s sur des cartes et des dĂ©corations pendant la pĂ©riode des fĂȘtes. 20. Mouette Nom scientifique Larus dominicanus Type d’animal Oiseau Intervalle le long des zones cĂŽtiĂšres du monde entier, y compris l’AmĂ©rique du Nord et du Sud, les CaraĂŻbes, l’Europe, l’Australie et mĂȘme les Ăźles autour de l’Antarctique En Allemagne, si vous voyez cet oiseau, cela signifie que l’étĂ© approche, et en Angleterre, en voir un avant NoĂ«l portera chance pour toute l’annĂ©e. Dans la tradition hĂ©braĂŻque, son cri ressemble Ă  chai », qui signifie la vie. Il n’est donc pas surprenant que le fait d’en voir un apporte chance et fortune. 21. Moineau Nom scientifique PasseridĂ©s Type d’animal Oiseau Intervalle Afrique du Nord, Europe, AmĂ©riques et une grande partie de l’Asie Le moineau est peut-ĂȘtre l’un des oiseaux porte-bonheur les plus connus. Cet oiseau est considĂ©rĂ© comme un symbole d’espoir et de chance. Le moineau est Ă©galement connu pour ĂȘtre une crĂ©ature trĂšs sociale, ce qui explique probablement pourquoi il est associĂ© Ă  la chance en amitiĂ© et en amour. 22. Épervier Nom scientifique Accipiter nisus Type d’animal Oiseau Intervalle chaque district de la Louisiane au Maine, ainsi que des cĂŽtes atlantiques aux rĂ©gions de l’ouest Comme le moineau, l’épervier est considĂ©rĂ© comme un oiseau porte-bonheur dans le monde entier. En Occident, il est souvent considĂ©rĂ© comme un symbole de bonne fortune et de prospĂ©ritĂ©. Dans la culture chinoise, l’épervier est associĂ© Ă  la chance et au succĂšs. 23. Hirondelle Nom scientifique HirundinidĂ©s Type d’animal Oiseau Intervalle tout habitat ouvert, y compris les prairies, les forĂȘts ouvertes, la savane, les marais, les mangroves et les broussailles, du niveau de la mer aux hautes zones alpines L’hirondelle est considĂ©rĂ©e comme un oiseau trĂšs chanceux dans un certain nombre de cultures. Au Royaume-Uni, par exemple, on dit que si une hirondelle construit son nid sur votre propriĂ©tĂ©, votre maison sera bĂ©nie par la chance. 24. Cygne Nom scientifique Cygne Type d’animal Oiseau Intervalle AmĂ©rique du Nord dans les Grands Lacs, le Midwest, les Rocheuses et le nord-ouest du Pacifique Le cygne peut ĂȘtre trouvĂ© dans de nombreuses cultures Ă  travers le monde, chacune avec sa propre interprĂ©tation de ce bel oiseau. Par exemple, en voir un sur votre gauche prĂ©vient d’une trahison par votre partenaire, tandis qu’en voir un sur votre droite est censĂ© signifier une trahison par un ami proche. 25. Grive Nom scientifique TurdidĂ©s Type d’animal Oiseau Intervalle ForĂȘts principalement de feuillus Le muguet est un petit oiseau chanteur au caractĂšre joyeux. Dans le langage des fleurs, les grives reprĂ©sentent l’espoir et la joie. On dit aussi que ces petits oiseaux sont un signe de bonne chance, en particulier en matiĂšre d’amour et de relations. Conclusion Il existe de nombreux oiseaux diffĂ©rents qui sont considĂ©rĂ©s comme chanceux, et chacun a sa propre signification. Que vous croyiez ou non au pouvoir de la chance, cela ne peut pas faire de mal d’avoir un peu de chance supplĂ©mentaire de votre cĂŽtĂ©.
QUOTE=help-petit-oiseau;1766709]Salut à tous, Bon je sais qu'il y a déjà des sujets là dessus et je suis désolée d'en faire un supplémentaire, mais j'aimerais beaucoup avoir des conseils personnalisés pour sauver le p'tit bout que j'ai trouvé aujourd'hui ! Cette citation de Gad Elmaleh Petit oiseau si tu n'as pas dŽailes. Ahh ! Tu peux pas voler ! , fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Gad Elmaleh. Partager cette citation Vous trouverez ci-dessous des illustrations de cette citation de Gad Elmaleh que vous pouvez facilement télécharger ou publier directement sur vos réseaux sociaux préférés tels que Facebook, Twitter, Instagram ou Pinterest. Citations similaires Dans les citations ci-dessous vous trouverez des citations similaires à la citation de Gad Elmaleh Petit oiseau si tu n'as pas dŽailes. Ahh ! Tu peux pas voler !, contenant les termes Petit, oiseau et dŽailes. Voir d'autres citations d'auteurs Découvrez des centaines d'auteurs célÚbres et toutes leurs citations célÚbres. Diana Spencer François HERTEL François Mauriac George WASHINGTON Georges DUHAMEL Gérard DEPARDIEU Henry David THOREAU Hermann HESSE Isaac NEWTON Madeleine FERRON Maxime Du Camp René BARJAVEL Rechercher une citation
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Sujet Petit oiseau si tu n'as pas d'ailes !... Japan-Exponche MP 19 août 2012 à 215208 AH tu peux pas voler ! ah ti pe pas voléhé!!! Mh petit oiseau si tu n'as pas d'ailes ! Ah tu peux marcheryayyay, tu peux marcheryay ayay Petit oiseau, si tu n'as pas ailes... Tu peux rien faire...En Tant qu'oiseauouo scoubi76120 MP 19 août 2012 à 215258 gné sa craint ce que tu racontes D Japan-Exponche MP 19 août 2012 à 215438 Apprends les smileys, jeune pousse !! alelelosc MP 19 août 2012 à 215847 Japan-Exponche MP 19 août 2012 à 220131 Au moins UN newfag qui connais les smileys, ça fais plaisir Scrall MP 19 août 2012 à 220227 Toujours epic ce chant Japan-Exponche MP 19 août 2012 à 220722 Japan-Exponche MP 19 août 2012 à 220852 RageMaker MP 19 août 2012 à 220909 Go -15 + taggle Japan-Exponche MP 19 août 2012 à 221120 Mh... je mediterais sur ton avis... BurgerQuiz MP 19 août 2012 à 221202 Go -15 sale kikoo Alison_ MP 19 août 2012 à 221424 Japan-Exponche MP 19 août 2012 à 221752 BurgerQuiz Go 18-25 Japan-Exponche MP 20 août 2012 à 103824 Victime de harcÚlement en ligne comment réagir ?

abbey_roadLe 13/01/2006 Ă  15:24 Il faudrait faire un programme spĂ©cial "oiseaux" avec "Petit oiseau si tu n'as pas d'ailes" de Gad Elmaleh, "L'Oiseau Bleu" de Charly scarla Le 13/01/2006 Ă  15:28 Ça ressemble Ă  Marie LaforĂȘt : "Toi mon amour, mon ami " blaireau01 Le

Harry Potter 2005 ~€~ Autres Lieux Magiques ~€~ A l'Ă©tranger Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Mer 11 Juil - 1415 La main de la jeune femme dans ses cheveux le fit tressaillir. Tressaillir comme elle tressaillait aprĂšs qu’Aloys, dans son amour, dans sa colĂšre aussi, ait lĂąchĂ© les questions qu’ils se posaient tous les deux depuis si longtemps. Aloys profitait de ce petit moment retrouvĂ© avec sa belle. NĂ©anmoins, il ne put la regarder dans les yeux, et tandis qu’elle jouait avec l’une de ses boucles, Ă  ses doigts, amoureuses, le jeune garçon perdait son regard dans l’azur de la mer. Zeph
, il lui lança un coup d’Ɠil, avant de s’éviter une nouvelle fois de ce visage d’ange. Aloys, je...Il releva aussitĂŽt la tĂȘte ; la voix de la jeune femme l’avait redressĂ©, comme si Ă  ses moindres dĂ©sirs, le jeune sorcier serait prĂȘt Ă  y rĂ©pondre. Ce qui Ă©tait le cas
 . Zeph hĂ©sitait. Combien de fois Aloys avait rĂȘvĂ© de ce moment, combien de fois il s’était construit ce scĂ©nario, combien de fois il s’était sentis, dans ses films oniriques, de nouveau Ă  cette femme, combien de fois, dans ses films oniriques, elle lui avait dit je t’aime », combien de fois il lui avait rĂ©pondu, je t’aime ». Mais, les rĂȘves ne sont pas la rĂ©alitĂ©, et rien ne se passait comme dans ces premiers. La nature humaine Ă©tait si Ă©trange, qu’il Ă©tait impossible de prĂ©parer sur mesure un discours convenu Ă  la situation. L’instinct des sentiments Ă©tait seul maitre Ă  voyage, comme je te l'ai Ă©cris, a une trĂšs grande importance. C'est en effet... Une question de vie ou de mort. La vie en eut quelques difficultĂ©s Ă  bien comprendre ce que Zeph tentait de lui dire. La vie en dĂ©pend
avait-elle lancĂ©e. La vie en dĂ©pend. Fallait-il prendre ces paroles Ă  la lettre ? La jeune femme Ă©tait-elle vĂ©ritablement en danger ? Avait-elle besoin de lui ? Etait-ce, seulement, en rapport avec lui ? Comment savoir ? Peut-ĂȘtre qu’il ne se rendait pas vraiment compte de la portĂ©e des sentiments de la jeune sorciĂšre
de leur importance. De leur force. Peut-ĂȘtre, bien que l’absence de Zeph fut l’une des plus terribles Ă©preuves qu’il ait dĂ» affronter, peut-ĂȘtre qu’il ne mesurait pas le degrĂ© d’amour qu’en lui, pour la jeune femme, existait. Elle tremblait. Aloys dans un mouvement de rĂ©confort et protecteur recouvra ses mains des siennes. Ses doigts glissĂšrent entre les membres de la jeune femme. NĂ©anmoins, il y mit une pression assez forte pour lui faire comprendre qu’il Ă©tait lĂ . Aloys, je... Je suis dĂ©solĂ©e, je... Je n'aurais jamais dĂ»... Tout ça... C'est... C'est complĂštement con, je ne comprends pas, je ne comprends pas pourquoi j'ai fais ça, Mer**, je suis vraiment trop... Trop stupide, je...Il voulait lui dire combien il l’aimait
et que le plus important Ă©tait de s’ĂȘtre retrouvĂ©. En outre, les larmes qui s’écoulaient des joues de la jeune femme le paralysĂšrent. Jamais il ne l’avait vu dans cet Ă©tat. MĂȘme la premiĂšre fois. Lors de la premiĂšre rencontre. Et pourtant, diable, elle venait de traverser un moment trĂšs douloureux. Toutefois, en cet instant
peut-ĂȘtre parce que ces larmes Ă©taient la consĂ©quence directe de la prĂ©sence du jeune homme, de leur histoire
il avait l’impression que ces larmes venaient de son cƓur Ă  lui
il avait l’impression que ces larmes Ă©taient Ă©galement les siennes. D’ailleurs, ses yeux commençaient Ă  le piquer sĂ©vĂšrement. Zeph enleva ses mains de celle d’Aloys pour se sĂ©cher les pommettes. Mais, au fur et Ă  mesure, elle les laissait s’écouler et tomber, tomber, tomber
comme ce mur qui les sĂ©parait durant ces derniĂšres Ă©tĂ© stupide, oui. Je ne sais pas ce que je cherchais Ă  me prouver. Je ne me comprends pas moi-mĂȘme. Je me hais moi-mĂȘme... Je me hais d'avoir fait ça, d'avoir cassĂ© ça. Parce que. Parce que tu... Tu me manques. J'ai besoin de toi. J'ai besoin de toi prĂȘt de moi, j'ai besoin de ton amour, j'ai besoin de ton sourire, besoin de ton visage pour rire, besoin de cette Ă©tincelle dans tes yeux pour me sentir meilleure...dit-elle en luttant contre de nouveaux sanglots. Aloys luttait Ă©galement. Il voulait tellement la prendre dans ses bras. La rassurer. La caresser. L’aimer. Mais, elle devait finir de parler. C’était important. Que toutes ces choses soient dites, pour qu’un nouveau feu brĂ»le sur leur amour. Il eut un silence
un silence qui annonçait une rupture choc. Aloys, je ne veux pas te balancer des mots doux d'amour Ă  l'eau de rose. Mais c'est plus fort que moi... Aloys, tu m'entends ? Je t'aime, Aloys... Je t'aime... Je t'aime !

PAM PAM

Elle lui prit ses mains. Fortes. Et lui murmura
Je suis amoureuse de toi...Aloys respira un grand bol d’air. Pffiou
que d’émotions. Il regarda la jeune femme. Elle lui caressait la joue. Il ferma les yeux ; puis les ouvrit de nouveau
mais plissĂ©s. Jamais on ne lui avait dit si belles paroles ; jamais on ne lui avait dit je t’aime ». Pas mĂȘme Zeph durant leur relation. Lui-mĂȘme ne s’y Ă©tait pas risquĂ©. Et là
.Elle venait de se lever, laissant Aloys la contempler de toute sa hauteur. Si belle, si belle. J'ai pris conscience de tout, sans toi. J'ai tout compris au pourquoi du comment, j'ai compris ce que je ressentais. Ces journĂ©es entiĂšres passĂ©es Ă  la fois prĂȘt et loin de toi m'ont fait rĂ©aliser Ă  quel point tu Ă©tais important Ă  mes yeux... Aloys, tu n'imagines pas combien je m'en veux. Comme j'ai pris du temps Ă  oser te le dire...Il s’en voulait aussi. De l’avoir laissĂ© partir. Jamais, il ne le referait. Aloys se leva Ă  son tour, et fit face Ă  sa bien-aimĂ©e, en cet instant, si proche de lui. Les jambes du jeune sorcier Ă©taient faibles. Mais il tentait de ne rien transparaitre. Il devait ĂȘtre fort. Lui montrer qu’il serait lĂ  pour elle ; il voulait ĂȘtre fort pour elle. Lui faire comprendre qu’elle pourrait compter sur lui, et se reposer sur son Ă©paule quand rien n’ira plus. Lui dire, qu’il serait lĂ  pour elle. Rien que pour bras d’Aloys se refermĂšrent sur le corps de la jeune femme, collĂ© contre le sien. Ce fut une Ă©treinte amoureuse, jalouse. Les deux amoureux se volaient l’un Ă  l’autre au monde. Ils ne se voulaient que pour eux. Personne d’autre. Plus rien n’existait. La peau chaude de la sorciĂšre l’apaisait. Certaines mĂšches de cheveux lui caressaient le visage. Aloys enfouit son visage dans le cou de Zeph
et y dĂ©posa de petits baisers. Il se sentait si bien contre elle. Tous les problĂšmes s’effaçaient, s’envolaient, sous ce coup de vent durent restĂ©s ainsi plusieurs longues minutes. Et aprĂšs ces longues minutes, Aloys dĂ©cida enfin de rĂ©pondre Ă  la dĂ©claration de la jeune commença-t-il en s’écartant lĂ©gĂšrement, bien que seuls quelques modiques centimĂštres les sĂ©paraient, nom de dieu, ce qu’il avait envie de l’embrasser !, Zeph
merci, merci. Merci pour tout. J’ai aussi rĂ©alisĂ© que sans toi, je n’étais plus rien, il lui caressa une mĂšche de cheveux, ces mois, seul, s’y proche, si loin de toi, on Ă©tait les plus durs de ma vie, avec la rĂ©vĂ©lation de son faux pĂšre, il avait Ă©tĂ© bien servis, oui, je t’en ai voulu, terriblement, j’avais besoin de toi, j’ai toujours besoin de toi. Mais, ton absence m’a fait comprendre les vĂ©ritables sentiments que je ressentais pour toi Zeph
et
il s’approcha, lui dĂ©posa un lĂ©ger baiser sur les lĂšvres, se laissant imprĂ©gner de ce parfum non pas oubliĂ©, mais manquĂ©, et, je suis Ă©galement amoureux de toi, chuchota-t-il comme pour que ces mots leur soit rĂ©servĂ©, je t’aime Zeph
Je t’aime, conclua-t-il avant de l’embrasser, d’un vĂ©ritable baiser d’amoureux
ce moment n’était qu’à eux
l****La jeune et belle serveuse revenait servir les deux invitĂ©s, ce beau jeune homme et cette garce, pensait-elle, sur que je vais me le faire, je vais lui en mettre pleins les yeux, se disait-elle comme pour se convaincre de sa beautĂ© Ă©vidente, mais
elle ne s’attendait pas Ă  ce qu’elle allait voir
à savoir deux amoureux dans les bras, lĂšvres contre lĂšvres, mains vagabondant, mains l’une dans l’autre
Est-ce que je pe
BAM !Si bien qu’elle en fit tomber son plateau sur le sol. Et bien que cela interrompit Zeph et Aloys dans leurs retrouvailles, il n’en fut pas moins Ă©vident, que ce ne fut pas eux qui ressentir le plus de honte, le plus de gĂȘne, mais bien la jeune serveuse. Pa
pardon. Pu
puis-je
vous ser
vir autre chose ?Aloys ne put s’empĂȘcher de sourire. Sa main vint attraper celle de Zeph, et il lui fit de nouveau face. Il l’embrassa de nouveau, respira son parfum, son odeur ; lui murmurant qu’il se sentait vĂ©ritablement bien. Le soleil Ă©tait haut dans le ciel, et la toile rouge donnait aux lieux une aura mystique et trĂšs romantique. La mer Ă©tait belle, aussi belle l’était Zeph, voire plus. Aloys Ă©tait comme le rivage, accueillant amoureusement, les vagues douces de sa belle ; aimant sentir sa fraiche caresse sur son corps, et sa prĂ©sence Ă  jamais inscrite en son ĂȘtre. Au plus profond. -Tu veux quelque chose ?, demanda-t-il Ă  sa sorciĂšre, tout en faisant attendre la serveuse. Laissant Zeph commander, Aloys demanda de nouveau un Coktail au jus d'orange et de quoi grignoter un peu. Le voyage avait Ă©tĂ© long, il commençait Ă  avoir un peu faim...puis, aprĂšs s'ĂȘtre de nouveau assit, sans lĂącher la main de la jolie brune, il reprit, peut-ĂȘtre que nous pourrions profiter de ce magnifique sauna aprĂšs...tu ne crois pas ? Lui dit-il, d'un regard malicieux. Zeph, je suis vraiment content d'ĂȘtre lĂ  avec toi...on a tellement de choses Ă  se dire...Tu savais que je me suis mis Ă  la guitare ?, enfin, ouais, tu dois savoir, vu qu'on habite dans la mĂȘme maison..., il sourit doucement, il Ă©tait tellement content de la retrouver. InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Ven 13 Juil - 1656 Il la serrait doucement contre elle. Elle sentait qu’elle n’était pas la seule Ă  le serrer fort, le serrer comme toute sa vie en dĂ©pendait
 Elle sentait sa chaleur contre la sienne, et cette douce pression rĂ©pondre Ă  la sienne, douce pression amoureuse, pression consolatrice, pression affectueuse
 Elle sentait dans ce geste comme une rĂ©ponse, comme un vague espoir, celui d’une rĂ©ponse similaire. Elle respirait son odeur, la respirait d’une force inouĂŻe Ă  l’en briser la cĂŽte. Elle retrouvait l’ĂȘtre qui, pendant plus d’un mois, lui avait Ă©tĂ© inaccessible. Ressentir si fort les mots qu’elle venait de prononcer la faisait presque trembler. Quelques baisers au creux de son cou la firent tressaillir, et dut-elle se contenir de ne pas sauter de joie face Ă  ce geste Merci, merci. Merci pour tout, j’ai aussi rĂ©alisĂ© que sans toi, je n’étais plus rien, ces mois, seul, si proche, si loin de toi on Ă©tĂ© les plus durs de ma vie. Oui, je t’en ai voulu, terriblement, j’avais besoin de toi, j’ai toujours besoin de toi. Mais ton absence m’a fait comprendre les veritables sentiments que je ressentais pour toi, Zeph, et
La jeune femme, son visage illuminĂ©, son regard adoucit et sa lĂšvre tremblante, se noyait dans ses yeux, se noyait dans ses mots, et irresistiblement le pressait d’avantage contre elle, comme pour l’inciter Ă  poursuivre, lui signifier qu’elle l’écoutait, qu’elle comprennait sans dĂ©sirer tout autant le couper. Elle se sentait monter, elle se sentait si soulagĂ©e. Elle se sentait toute lĂ©gerte, un Ă©norme poids ainsi envolĂ©. Sa main vint effleurer ses cheveux, toujours perchĂ©e au bout de ses lĂšvres, Ă  ces mots lui faisant tourner la tĂȘte
Et je suis Ă©galement amoureux de toi
 Je t’aime, Zeph
 Je t’ cligna des yeux. Une. Deux, puis trois fois, avant de se jeter sur ses lĂšvres. Pas au sens de les dĂ©vorer, mais simplement qu’elle avait bien trop attendu pour s’empĂȘcher de s’en emparer, de laisser les siennes y goĂ»ter. Il lui Ă©tait impossible de contempler son beau visage, sans s’empĂȘcher de rĂ©aliser ce geste, de rĂ©aliser ce geste tant de fois rĂȘvé  Tant de fois imaginĂ©, ces retrouvailles tant de fois imaginĂ©e dans les moindre dĂ©tails. C’était bien mieux que dans ses espĂ©rences. Elle n’en avait pas espĂ©rĂ© autant
 Aloys
 Elle l’enlaçait, fort, l’étreignant dans ses bras, le protĂ©geant de tout, le gardant pour elle et elle seule, et fermement rĂ©solue Ă  ne plus jamais – ĂŽ grand jamais – le laisser partir de ses griffes. Oui. Cet instant Ă©tait pour eux, Ă  eux seul, et Zepheryn dĂ©laissa tous les Ă©vĂšnements fastidieux de ces derniers temps pour s’abandonner enfin Ă  celui qu’elle aimait.* Elle se rappelait, ce soir-lĂ . Lorsqu’il la vouvoya. Lorsqu’elle le rencontra la premiĂšre fois. Il avait une allure singuliĂšre, et s’intĂ©ressa Ă  sa personne sans qu’il ne la connaisse, lui offrit sa bontĂ© sans aucun dĂ». Il y a de cela dĂ©jĂ  une annĂ©e. Le temps passait vite, mais son amour s’accroissait toujours d’avantage. Aujourd’hui-mĂȘme il lui semblait avoir franchit un nouveau pas dans leur relation. Elle ignorait encore que leur passĂ© respectif venait, en mĂȘme temps semble-t-il, de changer suite Ă  des Ă©vĂšnements singuliers. En effet avait-elle beaucoup de temps Ă  rattrapper, beaucoup de choses Ă  lui raconter et lui d’avantage encore. Mais pour l’instant demeuraient-ils enlacĂ©s, tĂȘte contre tĂȘte, mains dans la mains, s’échangeant quelques baisers et s’attrappant l’un et l’autre comme deux enfants se dĂ©couvrant. Est-ce que je peux
 voix de la serveuse qu’elle avait prĂ©cĂ©demment rejetĂ©e mauvaisement la fit lĂ©gĂšrement sursauter. Les bras de son amoureux cependant demeuraient collĂ© contre elle, comme s’il la protĂ©geait de tout, comme s’il resterait ainsi Ă  ses cĂŽtĂ©s quoi qu’il advienne. MalgrĂ© leur diffĂ©rence d’ñge il lui semblait parfois ĂȘtre la gamine insouciante et lui la devancer par sa maniĂšre d’ĂȘtre et son aptitude flagrante Ă  analyser les choses. Un fracas retentit sur la terrasse, oĂč le soleil se miroitait dans les draps rouges ainsi laissant se refletter sur le sol une lumiĂšre tamisĂ©e. La serveuse, rouge de honte, amassa son plateau et vint demander aprĂšs des excuses hĂ©sitantes ce qu’ils souhaitaient Ă  prĂ©sent. Sentir Aloys s’approcher d’elle et lui voler un baiser devant les yeux ahuris de celle qui ne cessait de le contempler la fit se sentir meilleure encore. Comme s’il voulait montrer qu’elle Ă©tait de nouveau Ă  lui
 Car malgrĂ© les apparences Zepheryn Ă©tait-elle facilement jalouse. Quoi de bien curieux Ă  un Aloys si charmant et attirant ? Volontiers, apportez de quoi manger et donc deux autres mĂȘmes cocktails s'il vous avait insistĂ© sur ces trois derniers mots, comme lĂ©gĂšrement pour compenser avec sa conduite excessive. Pour le reste elle saurait ce qu'elle avait Ă  leur prĂ©senter, et la brĂ©silienne voyait bien que son compagnon avait un petit creux. Tandis que la serveuse, leur lançant un dernier regard envieux tourna les talons, Zepheryn se dĂ©tacha lĂ©gĂšrement de son amoureux tout en posant sa tĂȘte au creux de son que nous pourrions profiter de ce magnifique sauna aprĂšs...tu ne crois pas ? Zeph, je suis vraiment content d'ĂȘtre lĂ  avec toi...on a tellement de choses Ă  se dire...Tu savais que je me suis mis Ă  la guitare ?, enfin, ouais, tu dois savoir, vu qu'on habite dans la mĂȘme maison...Zepheryn rĂ©pondit Ă  son sourire tout en malice, acquiesçant ses dires. De la dĂ©tente, voilĂ  ce qu'il leur fallait. Ils en avaient tout deux grands besoins. Et moi donc, comme je suis soulagĂ©e d'ĂȘtre enfin lĂ , avec jeune femme effleura sa main, gardant les yeux fermĂ©s, profitant de ce moment de tranquilitĂ© pour discuter normalement ; comme tu as ratĂ© beaucoup de choses, comme j'ai Ă©galement dĂ» en rater d'Ă©normes j'imagine. Evidemment que je t'entendais jouer ! Mais Ă  vrai dire je n'Ă©tais pas certaine que ça soit toi. Pas mal du tout pour un dĂ©but, vraiment !Zeph' releva la tĂȘte, lui souriant tendrement, jouant avec ses longs et fins doigts. Oui, ils habitaient ensemble. Et cette rĂ©alitĂ© s'installa enfin dĂ©finitivement dans sa tĂȘte. Auparavant devaient-ils se faire face chaque jour et se saluer avec une hĂ©sitation certaine, devaient contempler leur porte respective - cĂŽte Ă  cĂŽte d'autant plus -, devaient s'habituer Ă  cette gĂȘte constante... A prĂ©sent vivraient-ils ensemble, pourraient-ils dormir l'un contre l'autre, pourront s'habituer au quotidien de l'autre avec bonheur et non avec tristesse comme c'Ă©tait le cas jusqu'ici. Peut-ĂȘtre vivre justement continuellement ensemble, travailler ensemble les rapprocherait-il, ou au contraire les Ă©loignera-t-il tant cette proximitĂ© sera forte. Mais en cet instant Zepheryn se rĂ©jouissait seulement de cette condition de Aloys, j'ai entendu parler du Tournoi. Tu ne comptes pas t'y inscrire... N'est-ce pas ? Lui dit-elle subitement, relevant sĂ©rieusement sa tĂȘte prĂȘt de la sienne. Non pas qu'elle doute de ses capacitĂ©s - il Ă©tait fort habile et malgrĂ© son corps semblant frĂȘle il se dotait d'une agilitĂ© remarquable et d'une force maĂźtrisĂ©e -, mais elle ne voulait plus courrir aucun risque de le perdre, de le voir partir Ă  ce combat fou Ă  lier, sans mĂȘme en connaitre les Ă©preuves, dans un champ de bataille avec d'autres Ă©lĂšves oĂč la vie Ă©tait mise en danger. Elle trouvait Ă  la fois cette expĂ©rience bonne pour les tĂ©mĂ©raires dĂ©sirant faire leurs preuves, mais forte dangereuse tout de mĂȘme. Ses yeux inquiets scrutaient le visage de son amoureux, tentant d'y dĂ©celer la moindre rĂ©ponse. Zepheryn se leva, lentement, observant de la terrasse la vue qui leur Ă©tait offerte. On voyait les vagues s'entremĂȘler, le soleil s'y percuter avec douceur, mĂȘlant l'azurĂ© et le dorĂ© formant une splendeur Ă  couper le souffle. Les pĂątĂ©s de maisons de couleur et en brique blanches donnaient Ă  ce quartier une envie de s'y installer et d'y vivre, une envie de s'y isoler pour se faire plaisir, donnaient envie de vacances et de repos, de simplicitĂ© et de coquetterie. Zepheryn laissait ses pensĂ©es vagabonder, tandis que des bruits de pas vinrent troubler son harmonie. La serveuse Ă©tait de nouveau lĂ , ses bras chargĂ©s de deux plateaux. Si cette fois-ci elle tombait, elle risquait de se faire fort rĂ©primander. Mais la jeune femme, comme imaginant ce qui l'attendait en cas de seconde dĂ©faite, alignait ses pieds l'un devant l'autre d'une maniĂšre Ă  penser qu'elle prenait garde Ă  son propre Ă©quilibre. Zepheryn sourit tendrement Ă  son Aloys, effleurant une derniĂšre fois sa main avant de se mettre Ă  sa place. Elle avait un petit creux. Et les vives qui les attendaient avaient de quoi remplir le plus bougru des ogres. La jeune femme dĂ©posa les deux cocktails avant de dĂ©poser plusieurs assiettes sur la table rustique. En effet il y avait dans l'une des pita aux tomates sĂ©chĂ©es, aux poivrons rouges et au fromage de chĂšvre, puis des Arancini dans une autre, c'est Ă  dire des boulettes de riz farcies, des crostinis aux tomates et au pesto dans une troisiĂšme, et enfin des Bruschetta Ă  la mozarella et aux fines tranches de saumon arrosĂ©es d'une sauce basilic. Zepheryn sourit, satisfaite de la prĂ©sentation tandis que la serveuse s'en allait avoir posĂ© couverts et bros d'eau sculptĂ© Ă  la main. Bon appĂ©tit, ma petite abeille mon petit Aloys, si tu veux quelque chose n'hĂ©sites pas Ă  demander !Zeph' se pencha pour lui offrir un tendre baiser, avant de goĂ»ter Ă  une Bruschetta. MalgrĂ© la serveuse dĂ©jonctĂ©e qui, si elle continuait ainsi Ă  dĂ©vorer son amoureux du regard allait se retrouver la tĂȘte la premiĂšre dans le vide et les doigts de pieds Ă©cartĂ©s Ă  la faire saigner, il fallait reconnaĂźtre que leur cuisine Ă©tait excellente. Il ne manquait plus qu'une mandoline et un chanteur pour que l'ambiance soit digne d'un film romantique. D'ailleurs elle aurait bien aimĂ© l'entendre jouer de sa guitare, car mĂȘme s'il lui Ă©tait arrivĂ© d'entendre des bribes de notes de sa chambre, elle n'avait jamais pu encore Ă©couter du dĂ©but Ă  la fin un morceau en Ă©tant toute Ă  l' ce que j'ai manquĂ© dans ta vie, je veux tout savoir. Lui dit-elle soudain, entre deux bouchĂ©es. InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Sam 14 Juil - 2238 Aloys voulait profiter pleinement de ce moment. Aucun problĂšme venait le hanter, lui chatouiller l’esprit. Il n’y pensait mĂȘme pas, comme s’ils n’avaient jamais existĂ©. Etre ici, Ă  Venise, avec celle qui l’aimait, pour la retrouver, pour recommencer, Ă©tait la plus belle surprise qu’on ait pu lui faire depuis ces derniĂšres semaines. Le jeune homme Ă©tait pareil Ă  un exilĂ© sur une Ăźle dĂ©serte. Loin du folklore de la ville, ses dĂ©dales, sa magie. En outre, une chose pourtant le diffĂ©rencier d’un exilĂ© sur une Ăźle dĂ©serte. Certes il l’avait la mer qui s’étendait devant lui, le sable fin en contrebas sur lequel venait s’échouer les petits remous ; certes le cadre Ă©tait bien installĂ©, mais, contrairement Ă  un exilĂ©, Ă  ses cĂŽtĂ©s, il y avait quelqu’un. Et ce quelqu’un Ă©tait, pour Aloys, le monde tout entier. Ce quelqu’un qui lui murmurait des comme je suis soulagĂ©e d'ĂȘtre enfin lĂ , avec toi », ce quelqu’un qui lui effleurait la main, l’emportant dans des douceurs extrĂȘmes pour son cƓur abĂźmĂ©, ce quelqu’un qui venait de lui confier son ĂȘtre, ce quelqu’un Ă  qui il venait de donner son ĂȘtre. Oui, tu as ratĂ© beaucoup de choses, comme j'ai Ă©galement dĂ» en rater d'Ă©normes j'imagine. Evidemment que je t'entendais jouer ! Mais Ă  vrai dire je n'Ă©tais pas certaine que ça soit toi. Pas mal du tout pour un dĂ©but, vraiment. »Zeph, releva la tĂȘte qui Ă©tait alors au creux de cou du jeune homme, et lui sourit. Aloys la remerciait d’une petite caresse sur le bras. Il Ă©tait fier. Content. En l’absence de la jeune femme, la musique, dans la vie du jeune sorcier, s’était installĂ©e, pour combler ce vide. En outre, il avait trouvĂ© dans le maniement de sa guitare, et dans le plaisir de se laisser bercer par le vieux rock –c’était ce qu’il prĂ©fĂ©rait avant tout- un second souffle. Une autre façon de s’échapper de sa fausse libertĂ© nouvelle. En effet, comment, depuis qu’il n’avait plus de famille, considĂ©rer sa libertĂ© comme une nouvelle libertĂ©, alors que cette derniĂšre le retenait prisonnier dans de tristes et sombres pensĂ©es. La musique elle-mĂȘme dĂ©coulait d’une envie de crier, d’hurler sa douleur, de tout faire exploser. D’un jour au lendemain il s’était retrouvĂ© avec tout et rien Ă  la fois. Toute la vĂ©ritĂ©. Mais plus de barriĂšres, plus de rĂšgles, plus de famille, un passĂ© mensonger, plus de Zeph. Heureusement, cette derniĂšre lui Ă©tait revenue
pour ce qui Ă©tait des autres aspects de sa vie
surement que beaucoup d’eau devrait passer sous les ponts afin d’y remĂ©dier. Mais comme nous le disions tantĂŽt, toutes ses pensĂ©es, dans l’esprit du jeune homme, en ce prĂ©sent ensoleillĂ©, ou les mouettes et autres oiseaux chantaient et volaient, toutes ces pensĂ©es tapissaient dans un endroit sombre et lointain de son ĂȘtre. Dis-moi Aloys, j'ai entendu parler du Tournoi. Tu ne comptes pas t'y inscrire... N'est-ce pas ? » Lui dit-elle subitement, relevant sĂ©rieusement sa tĂȘte prĂȘte de la fut surpris, tant par la question que par le ton employĂ© pour la lui poser. Un ton inquiet. C’était peut-ĂȘtre l’une des choses qui lui avaient manquĂ© quand il Ă©tait en couple avec Zeph. L’inquiĂ©tude. Vouloir prendre soin de l’autre. Avoir peur qu’il se fasse mal, qu’il se blesse. Et bien que la jeune sorciĂšre semblait bel et bien sĂ©rieuse, Aloys ne put s’empĂȘcher d’ĂȘtre soulagĂ©. Tout redevenait comme avant, du moins cela en prenait bien le chemin. Il serra un peu plus fort sa Zeph contre lui, et pensa Ă  la bonne façon de lui rĂ©pondre. Bien sĂ»r qu’il allait s’inscrire au Tournois. C’était dĂ©jĂ  fait. Il avait envie de se tester, voir jusqu’oĂč il pourrait aller. En tant que Serpentard, il se devait de faire gagner le plus de point Ă  sa maison. Enfin, on lui avait proposĂ© de devenir prĂ©fet de la maison verte avec Axelle. Le jeune homme avait acceptĂ©, et cette dĂ©cision le poussait Ă  vouloir participer au Tournoi de Poudlard. En outre, il se doutait bien, mĂȘme si on parlait de Tournoi Magique, que le personnel de l’école magique, n’organiserait pas un Ă©vĂ©nement s’il Ă©tait aussi dangereux pour les Ă©lĂšves. On ne parlait pas du Tournoi des quatre corps de la jeune femme se dĂ©tacha d’Aloys, plongĂ© dans ses rĂ©flexions. Il n’avait pas remarquĂ© qu’elle l’avait regardĂ© intensĂ©ment, attendant une rĂ©ponse. Tant pis, il aurait l’occasion de lui en parler dans trĂšs peu de temps. Pourquoi pas autour d’un bon petit repas que s’empressait d’amener la jeune serveuse ? Le ventre d’Aloys fit savoir, discrĂštement, son soulagement, et, lorsque Zeph ce fut installĂ©, aprĂšs avoir contemplĂ© les magnifiques paysages qu’on leur offrait et on ne le lasse pas, Aloys prit place en face de sa bien-aimĂ©e. Sur la table se prĂ©sentait les deux cocktails qu’avaient, de nouveau, commander Zeph, des pita aux tomates sĂ©chĂ©es, aux poivrons rouges et au fromage de chĂšvre, puis des Arancini dans une autre, c'est Ă  dire des boulettes de riz farcies, des crostinis aux tomates et au pesto dans une troisiĂšme, et enfin des Bruschetta Ă  la mozarella et aux fines tranches de saumon arrosĂ©es d'une sauce basilic je t’ai piquĂ© ta phrase mwawahahaha, c’est pour les smileys que tu m’as volĂ© !. Aloys n’était pas encore un adepte de la cuisine Italienne. Bien qu’il soit serveur, il apprenait encore toutes les ficelles du mĂ©tier. Phill ne lui avait jamais vraiment appris les traditions culinaires des autres pays. En quoi cela pourrait intĂ©resser un jeune sorcier qui allait s’installer au dĂ©partement des transports magiques ? De plus, toute sa vie, avant son entrĂ©e Ă  Poudlard surtout, bien que c’était encore le cas d’une certaine maniĂšre, il s’était fait servir, non pas par des elfes de maison, chose que Phill trouvait ignoble –bien que les esclavager Ă©tait d’un doux plaisir-, mais par des cuisiniers professionnels. Aloys n’avait qu’à dĂ©guster ce qu’on lui mettait dans l’assiette. Aller voir en cuisine, parler au personnel, autre que dans un cadre professionnel, Ă©tait une ignominie pour une famille aussi riche que celle des Kleins ! –nom de famille de Phill. Riverside Ă©tant en rĂ©alitĂ© un nom d’emprunt, que le jeune sorcier s’était donnĂ© plus petit sans vraiment savoir pourquoi. Il lui avait semblĂ© naturel
et en cherchant un peu, dans des dossiers cachĂ©s dans le bureau de son oncle, il avait compris que son pĂšre Moldu se nommait Riverside. Les souvenirs Ă©taient parfois un phĂ©nomĂšne trĂšs Ă©trange
 Merci, dit simplement Ă  l’attention de la serveuse, avant de rĂ©pondre Zeph qui le fit encore sourire par sa remarque 
 si tu veux quelque chose n'hĂ©sites pas Ă  demander !, Merci , bon appĂ©tit Ă  toi aussi –petit oiseau au citron-. T’en fais pas, je n’hĂ©siterais pas » finit-il amusĂ©. DĂ©cidĂ©ment, Ă  force de sourire, il en aurait des crampes aux joues !Aloys goutta une derniĂšre fois les lĂšvres de la jeune femme, et commença Ă  manger. C’était vraiment dĂ©licieux. Se remplir l’estomac eut pour consĂ©quence une vague de bonheur et d’apaisement au niveau de son ventre. Nom d’un Xoumi. Qu’est-ce que ça fait du bien. Zeph Ă©galement semblait se rĂ©galer et devait admettre, malgrĂ© elle, que la jeune serveuse s’en tirait merveilleusement bien. Aloys en Ă©tait presque jaloux que cette derniĂšre parvienne Ă  faire un si bon repas. Le Bar des TĂ©nĂšbres, avec cette garniture exquise, augmenterait pour sĂ»r sa clientĂšle, et son chiffre d’affaire ! Aloys avait encore beaucoup de travail pour parvenir Ă  tel niveau de rĂ©galatitude j’ai inventé . Durant quelques longues secondes, le silence rĂ©gna, avec seulement le bruit de la mer et les couverts venant tinter les assiettes pour l’interrompre. Raconte-moi ce que j'ai manquĂ© dans ta vie, je veux tout savoir », finit par dire Zeph entre deux bouchĂ©es. Eh bien, commença-t-il, prenant ensuite la peine de finir de mĂącher, d’avaler, de boire un coup et de s’essuyer la bouche –tout cela en quelques secondes- pour continuer, il y a pleins de choses Ă  dire
, hum, il n’allait pas lui parler de sa famille, ça il n’oublierait pas de l’omettre, Tu dois savoir que je suis encore Ă  Poudlard, et qu’on vient de me proposer de prendre le poste de PrĂ©fet de ma maison Serpentard. Je pense que je vais accepter. Je me souviens que tu as Ă©tĂ© Directrice des Serdaigles...c’était comment ? Il prit une nouvelle bouchĂ©e, et puis pour en revenir Ă  ta question de tout Ă  l’heure, Ă  savoir si je me proposais pour le Tournoi des Quatre maisons, eh bien, sache que oui. Je me suis inscrit, il la regarda droit dans les yeux avec un sourire, mais bon, la premiĂšre Ă©preuve se dĂ©roule bientĂŽt, et je n’en suis pas le Champion, c’est Axelle Higgs, l’autre prĂ©fĂšte de Serpentard. Une chouette fille. Enfin bref, il jeta un coup d’Ɠil Ă  la mer, c’est vraiment beau Zeph, merci pour tout ce que tu as fait aujourd’hui, dit-il en lui caressant une main temporairement posĂ©e sur la table, merci. Pour le reste, tout va
pour le mieux, dit-il, menteur. Surement que d’autres choses allaient lui revenir au fil de leur conversation. Et toi alors, dis-moi, comment ça se passe au Bar ? Tu t’y fais ? L’ambiance te plait ? On a vĂ©cu une sale pĂ©riode aprĂšs l’attaque des Mangemorts il a fallu tout refaire
m’enfin, reconstruire pour mieux repartir, on en est un bel un exemple hein ? Finit-il tout sourire en levant son verre pour celle qu’il aimait. InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Dim 15 Juil - 2111 Tandis que les deux jeunes laissaient leur ventre se remplir sans toutefois faire d'abus, s'Ă©changeant des bribes de paroles et des sourires qu'eux seuls semblaient capable d'assimiler et de comprendre, Aloys reprit le point sensible qui - au premier instant qu'elle avait lu dans le Chicaneur de quoi il en retournait - l'avait inquiĂ©tĂ©e Ă  son dois savoir que je suis encore Ă  Poudlard, et qu’on vient de me proposer de prendre le poste de PrĂ©fet de ma maison Serpentard. Je pense que je vais accepter. Je me souviens que tu as Ă©tĂ© Directrice des Serdaigles...c’était comment ? Et puis pour en revenir Ă  ta question de tout Ă  l’heure, Ă  savoir si je me proposais pour le Tournoi des Quatre maisons, eh bien, sache que oui. Je me suis jeune femme cessa net de manger, avala mauvaisement la bouchĂ©e qu'elle venait de prendre, et se sentit sur le point de rejeter tout ce qu'elle venait d'avaler. Elle le contemplait, gardant les lĂšvres pincĂ©es, non de peur mais parce qu'elle n'avait aucune envie de lui lancer des reproches et encore moins de se disputer tandis qu'ils venaient de se rĂ©concilier. La jeune femme croisa cependant des bras - comme une enfant gĂątĂ©e n'ayant pas son joujou. Elle ne semblait pas en colĂšre, seulement deux rides se formant au creux de ses sourcils rĂ©vĂ©laient le bouillonnement intĂ©rieur qui naissait, l'attaquant par vagues funestes. Elle ne pipa mot, Ă©coutant ce qu'il avait Ă  dire pour sa dĂ©fense. Ecoutant sans rĂ©ellement s'inquiĂ©ter. Elle avait contenu sa joie intense pour cette proposition, Ă©videmment mĂ©ritĂ©e aux yeux de la jeune femme qui savait comme il Ă©tait aimĂ© partout. Oui, elle Ă©tait fort heureuse pour lui, et se retenait dĂ©jĂ  de ne pas l'enlacer pour lui tĂ©moigner sa fiertĂ© et son honneur d'ĂȘtre sa compagne. Elle le contemplait avec des yeux petits - non pas vautrĂ©s et mesquins mais... D'avantage emplis d'une tristesse et d'une inquiĂ©tude flagrante. Mais bon, la premiĂšre Ă©preuve se dĂ©roule bientĂŽt, et je n’en suis pas le Champion, c’est Axelle Higgs, l’autre prĂ©fĂšte de Serpentard. Une chouette fille. Enfin bref... Oui, enfin bref ! Ne s'Ă©garait-il pas un peu trop ? Elle sentait ses propres joues rosirent sous le nom de cette Axelle, prononcĂ© avant l'annonce de la pensĂ©e simagrĂ©e qu'il semblait lui accorder une chouette fille. Une chouette fille... Non. Elle devait rester calme et garder son sang-froid. Elle n'avait pas Ă  geindre et Ă  se lamenter pitoyablement pour... Ce joli compliment. Naturellement. Imaginer que cette fille prenne la premiĂšre Ă©preuve ne la rassurait pas d'avantage. Elle savait comme les Ă©preuves devenaient de plus en plus complexes. Elle aurait prĂ©fĂ©rĂ© qu'il passe en premier et qu'il en finisse vite. Mais pourquoi Ă©tait-elle inquiĂšte ? Non, elle ne devait pas douter de lui. Aloys Ă©tait un dĂ©brouillard, pas un jeunot fĂ©brile. Il savait se servir de sa tĂȘte quand il le fallait, elle le savait douĂ© dans l'art de la magie. Seulement... Seulement ces arguments fondaient, ces arguments lui semblaient de taille Ă  un microbe. Ces arguments coulaient, et s'Ă©loignaient, se rapetissaient Ă  vue d'oeil. Car une peur incertaine la tenaillait toujours. Elle la sentait quelque part, entre cette articulation et ce coeur rebombĂ©. Aloys, Aloys... Je ne pourrais pas t'empĂȘcher d'y participer, je vois comme l'envie de prends. Et Ă  la fois en te disant de prendre garde, que gagnerais-je ? Je sais que tu feras attention. D'ailleurs laisse-moi te dire que je serais la premiĂšre Ă  te fĂ©liciter quoi qu'en advienne l'Ă©preuve. Je laisserais quelque peu ma maison respective, pour mon plus grand bien. Et je hurlerais, lĂ , Serpentard !, ou plutĂŽt Aloys Rivserside ! de toute la force que mon corps me permet de relĂącher. La jeune femme sourit, pressant sa main contre la sienne comme pour lui signifier que ces prĂ©sentes paroles Ă©taient vĂ©ritables. Elle ne voulait le rĂ©primander ou mĂȘme le persuader de reprendre son nom... Ce qui Ă©tait, le nier serait perdre la raison, impossible Ă  rĂ©aliser. Et puis elle ne voulait pas lui retirer son envie, ni sa propre fiertĂ©. Elle ne voulait d'ailleurs en aucun cas lui faire croire qu'elle ne le pensait pas fort et capable de rĂ©ussir. Elle le sentait et le savait au plus profond de son ĂȘtre. C'Ă©tait son Aloys, et il gagnerait. Elle ferait d'ailleurs tout pour. En effet avait-elle oubliĂ© quelle maison l'avait aceuillie. Car Ă  vrai dire, comme elle l'avait ressenti en retrouvant Alice Severus, elle ne ressentait plus cette diffĂ©rence folle, dans cette compĂ©tition dĂ©lirante, qu'elle avait quelque peu reprit en accĂ©dant au poste de Directrice. Retrouver ces souvenirs l'attristait quelque peu... Car en y rĂ©flĂ©chissant, si elle avait dĂ©couvert la vĂ©ritĂ©, si sa mĂšre ne lui avait pas fait croire qu'elle eut Ă©tĂ© morte Ă  sa naissance n'aurait-elle pas eu cette force de partir et de tout abandonner. D'abandonner son poste Ă  la boutique, tout comme cette place au sein de Poudlard qu'elle avait regrettablement relĂąchĂ© suite Ă  sa folie... Heureusement mĂȘme Hellyna avait-elle prit sa place. Elle n'aurait pas espĂ©rĂ© meilleure personne la remplacer. La jeune femme lui serra la taille, dĂ©posant un baiser sur sa joue fraĂźche et jeune, emplie de vitalitĂ© et de tout cas, laisse-moi te dire un grand bravo pour cette proposition ! Je suis tellement heureuse pour toi. Ca n'est pas parce que je tiens Ă  toi, mais laisse-moi dire qu'aucune autre personne n'aurait plus mĂ©ritĂ© cette affliction que toi-mĂȘme mon agneau ! Elle lui fit un petit clin d'oeil, apprĂ©ciant le taquiner et l'appeler par cette appellation affective. Je dois dire que je n'ai pas Ă©tĂ© Directrice trĂšs longtemps, malheureusement. Seulement je pense que tout comme pour les prĂ©fets, ce mĂ©tier te permet de te rapprocher et d'ĂȘtre Ă  l'Ă©couter des Ă©lĂšves. Pour toi donc de tes camarades, c'est bien d'ailleurs pour cette raison que la plupart des prĂ©fets sont bien vus des autres et deviennent vite populaires. Tu verras, comme tu deviendras l'exemple de ta maison. Alors... Pas de drague - hormis avec moi bien sĂ»r mon trĂ©sor, je parle des autres !Elle rit, l'enlaçant encore plus fort et dĂ©posant un lĂ©ger baiser sur ses lĂšvres. Elle se dĂ©tacha quelque peu de lui afin de porter le cocktails Ă  ses lĂšvres, tentant de repousser cette inquiĂ©tude qui la rongeait toujours quand Ă  se tournoi de fou. Si son Aloys lui revenait Ă©gratinĂ©, ils auraient affaire Ă  elle. Ils verraient, eux, comme elle les feraient regretter d'avoir remit ce jeu en place ! C’est vraiment beau Zeph, merci pour tout ce que tu as fait aujourd’hui, merci. Pour le reste, tout va
pour le mieux. Et toi alors, dis-moi, comment ça se passe au Bar ? Tu t’y fais ? L’ambiance te plait ? On a vĂ©cu une sale pĂ©riode aprĂšs l’attaque des Mangemorts il a fallu tout refaire
m’enfin, reconstruire pour mieux repartir, on en est un bel un exemple hein ?La jeune femme sourit, tout en reprenant un peu de nourriture. Elle entendait au loin le son produit par un oiseau chantant doucement, laissant Ă©tinceler de jolies notes agrĂ©mentĂ©es de liaisons, saupoudrĂ©es de douceur et d'harmonie. Ici elle oubliait. Ici elle se sentait bien. Surtout grĂące Ă  sa prĂ©sence. Il appliquait un baume Ă  son coeur, il lui faisait presque tout oublier... La jeune femme serra sa main, n'osant pas lui dire que son amour pour lui n'Ă©tait pas Ă  la mesure de ce piĂštre rendez-vous amoureux. Elle n'avait pas remarquĂ© son hĂ©sitation, tout comme elle omettrait franchement de lui rĂ©vĂ©ler ce qu'il s'Ă©tait dĂ©roulĂ©, de lui annoncer les rĂ©vĂ©lations qu'elle avait dĂ©couvertes dans un laps de temps enserrĂ©. Elle avait encore trop peur qu'il n'imagine qu'elle soit revenue vers lui pour l'aider Ă  se sortir de ces tĂ©nĂšbres... De ce tourbillons de faits transformant son passĂ© et la rĂ©duisant Ă  une faible mortelle. Elle voulait qu'il croit dur comme fer comme les mots qu'elle prononçait Ă©taient sincĂšres - et il l'Ă©taient au plus haut point, il n'avait pas Ă  en douter. Le bar, je m'y plais beaucoup ! C'est Ă©trange, vraiment, d'entendre les gens autours de soit ne pas comprendre comment on parvient Ă  s'Ă©panouir dans un travail de serveur, au Bar Des TĂ©nĂšbres tout au plus. Ce rythme du travail me manquait, et grĂące Ă  Emma il redevient comblĂ©. Et l'ambiance, ça paraĂźt glaucque Ă  certains, mais moi ça me met d'aplomb ! Ne te moque pas de moi, je suis sĂ©rieuse ! S'exclama-t-elle, tout en lui effleurant la mangemorts ont laissĂ© un sacrĂ© dĂ©gat, tu n'as pas tord...Sa phrase resta lĂ©gĂšrement en suspend, ses traits lĂ©gĂšrement... TaillĂ©s, tracĂ©s avec d'avantage de courbure. Elle semblait soudain emportĂ©e ailleurs, par un sentiment inexplicable. Par moment les souvenirs revenaient, par flambĂ©e, venant cisailler son Ăąme en non pas deux, mais trois, quatre, cinq... Dix, quinze parties invisibles. Une dĂ©chirure. Une contorsion. A l'intĂ©rieur un tumultueux vent violent lui prennait la gorge. D'apparence, Zepheryn semblait seulement prise soudainement dans ses pensĂ©es. Aloys pourrait croire qu'il s'agisse tout bonnement d'un rappel de ces terribles images, sans imaginer ce que la jeune femme se prenait Ă  lui cacher. Mais bien sĂ»r lui en parlerait-elle. En temps voulut. LĂ  n'Ă©tait pas le moment, ni l'endroit. Un si bel endroit n'Ă©tait pas fait pour gĂącher le plaisir et le moment magique mais bien pour vivre et respirer... Respirer cet amour vif, cet amour jeune, ce bel visage se dĂ©tendant lĂ©gĂšrement se tourna vers le sauna. Il Ă©tait lĂ , l'eau bouillonnante semblant dĂ©border de toute part du beau lieux. La jeune femme reprit une derniĂšre bouchĂ©e, finit son cocktail avant de se tourner vers son mon Aloys. On est un bel exemple. Reconstruire pour encore mieux repartir. Oh, je te jure... Je te le promets, il n'y aura plus jamais de reconstruction, plus de nouveau dĂ©part, seulement des torrents, des vagues dĂ©ferlantes d'Ă©vĂšnements, de sentiments et de vie se pencha vers Aloys, les yeux brillants d'Ă©motion aprĂšs avoir dĂ©clarĂ© ces mots avec tant de passion, une passion ardente et un amour incontestable. Elle l'enroula de ses bras et le fit se lever avant de l'embrasser avec une passion folle, laissant ses mains effleurer sa peau douce. Elle l'attirait vers lui, puis reculait, reculait, et reculait encore tout en l'attirant vers elle avec une sorte d'attirance magnĂ©tique qui s'opĂ©rait naturellement sans qu'elle n'aie besoin de le serrer contre elle. La jeune femme s'approcha de son oreille et lui murmura Que dirais-tu de nous dĂ©tendre quelque peu dans cette eau tiĂšde ? Sans qu'elle n'eut besoin de lire sa rĂ©ponse sur ses lĂšvres, elle voyait dans ses yeux qu'il avait pensĂ© Ă  la mĂȘme chose qu'elle. Alors la jeune femme, sans prĂ©venir son geste, le poussa - doucement, bien sĂ»r huhu - dans l'eau rafraĂźchissante sous ce temps d'Ă©tĂ© brĂ»lant. La jeune femme rit aux Ă©clats, mais c'est bien sans s'y attendre non plus qu'elle se fit attirer de la mĂȘme maniĂšre dans l'eau, Aloys l'ayant tirĂ©e de force vers lui. L'eau Ă©tait fraĂźche, non pas glaciale ou trop chaude par ce temps mais Ă  parfaite tempĂ©rature. Ses cheveux s'Ă©tiraient, et en cet instant Zepheryn ressemblait bien Ă  une sorte de... MĂ©duse brune quel humour sur le point de remonter Ă  la surface. La jeune femme respira l'air bon, toujours si chaud mais bien plus supportable dans cette eau agrĂ©able. Elle rit, attrapant son bien-aimĂ© dans ses bras et l'aidant Ă  se dĂ©faire de ses vĂȘtements - quelle dĂ©vergondĂ©e ! -, leur Ă©tant Ă  tout deux inutiles et plus gĂȘnants qu'autre chose, leur collant Ă  la peau. SitĂŽt fait, la jeune femme se mit Ă  ses cĂŽtĂ©s, et se laissa flotter Ă  la surface de l'eau baignĂ©e et illuminĂ©e des rayons de soleils, tout en sentant les bras d'Aloys la ramener vers lui et l'enlacer vers elle. La jeune femme le dĂ©coiffa, s'amusant avec ses cheveux mouillĂ©s tous plaquĂ©s sur son visage comme une enfant, un sourire ravi. Le lieux Ă©tait grand, mais un mĂštre carrĂ© aurait suffi, tant ces deux amoureux se collaient l'un Ă  l'autre et ne bougeaient pas, s'observant avec tendresse, jouant avec l'eau dans un premier temps et avec les cheveux de l'un et l'autre avant de se plonger dans une romance plus dĂ©licate et plus raffinĂ©e que d'ordinaire, une caresse portĂ©e sous ce soleil ardent, ardent comme leur amour, ardent comme leurs baisers, ardents comme leurs caresses et les ombres flottantes se confondre...Ce moment Ă©tait Ă  eux.[Fin de RP â™Ș] InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Mar 1 Jan - 1816 RP avec Ailinn avait eu l'idĂ©e d'emmener sa filleule pour les vacances de NoĂ«l. Ailinn avait travaillĂ© sans relĂąche et mĂ©ritait une rĂ©compense pour ce premier brillant trimestre Ă  Poudlard. La jeune femme avait prospectĂ© et hĂ©sitĂ© entre plusieurs destinations, notamment Rio, Dublin et Shanghai, mais tandis que les villes brĂ©silienne et chinoise lui avaient finalement paru assez loin et trop exotiques pour une enfant de onze ans, celle-ci connaissait dĂ©jĂ  un petit peu la capitale irlandaise. Son choix s'Ă©tait alors portĂ© sur Venise, pittoresque endroit et facile d' avait dĂ©cidĂ© de profiter de ses derniers jours de vacances avant de reprendre son poste au MinistĂšre. L'Ă©lite magique avait Ă©tĂ© grandement perturbĂ©e durant quelques mois et avait Ă©tĂ© temporairement libĂ©rĂ©e. AprĂšs avoir rĂ©servĂ© un hĂŽtel au cƓur de la ville, Ahlys avait concoctĂ© un petit programme. Elle avait plutĂŽt privilĂ©giĂ© les lieux moldus, plus riches culturellement que ceux sorciers, mais aussi parce qu'il Ă©tait parfois agrĂ©able de couper les ponts et de retrouver un mode de vie plus sain, sans artifice ni baguette. Elle avait seulement prĂ©vu un portoloin pour l'aller et le retour ; elle devait admettre que c'Ă©tait bien plus Ă©conomique et rapide, d'autant plus que la jeune femme n'Ă©tait pas trĂšs Ă  l'aise en avionet qu'elle avait dĂ©valisĂ© Waddiwasi en produits alimentaires et Ă©tranges pour les moldus risquant de ne pas passer le contrĂŽle matin de leur dĂ©part, Ahlys se leva sans peine, un petit sourire aux lĂšvres. Elle rangea d'un coup de baguette leurs valises en prenant soin de cacher les cadeaux. Sans bruit, elle s'habilla, laissa un mot Ă  Rilla pour lui souhaiter de bonnes fĂȘtes et lui dire qu'elle avait fait les courses la veille, puis monta Ă  l'Ă©tage et vint rĂ©veiller Ailinn, qui avait une chambre pour elle toute seule. Elle poussa la porte et vint s'asseoir au bout du lit aprĂšs avoir embrassĂ© la fillette sur le front - Petit Soleil, c'est l'heure !Elle l'observa un instant sa mine endormie et ouvrit dĂ©licatement volets et rideaux. Le jour ne s'Ă©tait pas encore Ă©dition par Ahlys Maplestone le Jeu 24 Jan - 2329, Ă©ditĂ© 1 fois Ailinn KafkaSerdaigle Re Un petit tour Ă  VeniseAilinn Kafka, le Jeu 3 Jan - 1701 La respiration lente et paisible d’Ailinn tĂ©moignait de son profond sommeil, et ses longs cheveux roux s’étaient Ă©parpillĂ©s en une couronne de flammes sur l’oreiller de toile claire lorsque sa jeune marraine entra doucement dans sa chambre, presque indĂ©tectable tant le bruit de ses pas Ă©tait furtif sur le parquet cirĂ©. Ailinn passait de courtes vacances dans la maison de PrĂ©-au-Lard, habitant momentanĂ©ment la petite chambre vide du premier Ă©tage touchant au large escalier. Les murs clairs Ă©taient recouverts de chaux, et un petit lit d’enfant avait Ă©tĂ© poussĂ© dans un coin de la piĂšce opposĂ© Ă  la grande lucarne bordĂ©e de rideaux de dentelle blanche, ce qui plaçait la couche en face d’une petite table de travail sur laquelle reposaient un encrier bien fermĂ©, une plume blanche et quelques rouleaux de parchemins vĂȘtement gisaient au sol prĂšs du lit, une jupe de popeline plissĂ©e et une longue cravate bleue striĂ©e de fines rayures bronze, une paire de mis-bas crĂšmes un peu tĂąchĂ©s par une quelconque excursion forestiĂšre... Petit Soleil, c'est l'heure ! »Ahlys se leva pour ouvrir sans bruit les lourds volets de bois et Ă©carter les fins rideaux de dentelle. Le ciel hivernal Ă©tait encore sombre, mais une vague rosĂ©e courait dĂ©sormais Ă  l’horizon, et la fillette contempla ce magnifique spectacle avec de petits yeux encore endormis. DĂ©jĂ  ? »La petite sorciĂšre sauta aussitĂŽt sur ses pieds, plus impatiente que jamais, embrassa sa marraine et refit son lit en toute hĂąte avant d’enfiler une Ă©paisse cape d’hiver par-dessus un jean Ă©limĂ© et un haut de lin aux couleurs passĂ©es, tout en brossant sa criniĂšre de feu. Aujourd’hui, elles partaient Ă  Venise. Sa marraine prĂ©fĂ©rĂ©e avait tout organisĂ© pour lui faire une surprise, et le Portoloin les attendait dĂ©jĂ  au rez-de-chaussĂ©e, posĂ© en Ă©vidence au milieu de la grande salle Ă  manger. Ce ne serait pas la premiĂšre fois que la fillette se servirait de l’un d’entre eux pour voyager, mais son excitation n’en retombait pas moins transplaner avait toujours un effet Ă©trange qui lui rappelait sa situation particuliĂšre de fillette attrapa sa besace de cuir dans laquelle elle avait rangĂ© quelques vĂȘtements et affaires nĂ©cessaires Ă  leur voyage, ainsi que les inĂ©vitables cadeaux. Heureusement que Meredith, l’une des filles de septiĂšme annĂ©e, lui avait appris le sortilĂšge d’extension indĂ©tectable sans quoi il Ă©tait probable qu’elle n’aurait pas pu tout faire rentrer dans ce petit sac sans en faire craquer les coutures
 Elle cala avec soin la cage de fer forgĂ© entre une paire de jeans et un pull Ă©pais, priant pour qu’il n’arrive rien au volatile avant qu’elle ne l’offre, et rejoignit Ahlys dans le salon. Je suis prĂȘte ! » InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Ven 25 Jan - 012 La voix fluette d'Ailinn, encore emmitouflĂ©e dans sa couverture, arracha un sourire Ă  DĂ©jĂ  ?La question Ă©tait rhĂ©torique. La jeune femme ne pouvait s'empĂȘcher de culpabiliser de faire lever sa filleule aussi tĂŽt. La Serdaigle venait tout juste de terminer brillamment son trimestre et avait beaucoup travaillĂ© ; Ahlys savait qu'elle s'Ă©tait imposĂ© un rythme assez soutenu. Elle devait ĂȘtre Ă©reintĂ©e. Mais l'auror balaya ces mauvaises pensĂ©es en se concentrant sur le paysage qui s'Ă©tendait devant elle. Elle observa un hibou se poser sur une branche Ă©paisse et nue. L'oiseau Ă©tira ses ailes avant de pĂ©nĂ©trer Ă  l'intĂ©rieur de l'arbre. Tandis que l'animal rentrait, Ailinn et Ahlys s'en derniĂšre se retourna et constata que sa filleule Ă©tait dĂ©jĂ  sortie de la piĂšce ; elle avait fait son lit dans la prĂ©cipitation et la jeune femme ne put rĂ©sister Ă  sa fĂącheuse manie de tirer correctement les draps afin d'y faire disparaĂźtre tous les plis. Elle remit l'oreiller en forme en le tapotant doucement. Celui-ci laissa s'Ă©chapper un agrĂ©able parfum d'hibiscus, celui des cheveux de la petite sorciĂšre. Elle descendit les marches avec douceur et se dirigea vers la cuisine, attrapa la poche en plastique qu'elle avait soigneusement prĂ©parĂ©e la veille et posĂ©e sur le plan de travail, puis regagna l'un des fauteuils du salon. Elle laissa Ă©chapper un discret rĂ©apparut soudainement, entiĂšrement apprĂȘtĂ©e, sa jolie besace en cuir enfilĂ©e en bandouliĂšre et son sourire rĂ©jouit illuminant son visage Ă  prĂ©sent parfaitement Ă©veillĂ©. Ahlys se leva et s'approcha du portoloin qui trĂŽnait au centre de la piĂšce. Il s'agissait d'un simple livre qui ne risquait pas d'attirer l'attention de qui que ce fĂ»t, aux coins abĂźmĂ©s et aux vieilles pages jaunĂątres qui contrastaient avec la couverture rigide prĂ©sentant le visage d'une femme dont le regard se perdait dans le lointain, bien au-delĂ  du papier. La jeune femme prit les valises dans sa main droite et tendit la gauche Ă  Ailinn pour l'inviter Ă  se joindre Ă  Quand tu auras ton permis de transplanage, ce sera bien plus pratique !Elle laissa Ă©chapper un rire cristallin et qui l'emplit d'une immense joie. Elle posa la paume de sa filleule sur le vieux livre avant de faire de mĂȘme. Elles attendirent quelques instants avant de disparaĂźtre de la piĂšce, ne laissant derriĂšre elles qu'une fraĂźche odeur d'hibiscus et de jasmin.***Ahlys dĂ©testait utiliser des portoloins ; elle Ă©tait systĂ©matiquement malade. C'Ă©tait pour cette raison qu'elle n'avait jamais passĂ© son permis de transplanage, mais elle Ă©vitait de penser Ă  cela. Le temps des regrets Ă©tait rĂ©volu. NĂ©anmoins, la premiĂšre chose qu'elle fit lorsqu'elles apparurent sous un pont de pierre fut de dire Ă  Ailinn de regarder le calme et sombre canal avant de s'Ă©loigner de quelques pas et de vomir aussi discrĂštement qu'elle le pouvait. Une fois le ventre vide, elle dut reconnaĂźtre qu'elle se sentait nettement mieux, bien qu'elle n'eĂ»t absolument pas faim. Elle rejoignit la fillette et dĂ©clara d'un ton jovial - Sia la benvenuta a Venezia, il mio Sole !Elle ignorait totalement si sa phrase Ă©tait correcte, mais elle savait que sa filleule saisirait l'idĂ©e. Elle l'enlaça et embrassa le haut de son crĂąne avant de lui dire qu'elle Ă©tait heureuse de pouvoir partager quelques jours avec elle se l'Ă©tait promis, elle refusa d'utiliser la magie pour porter leurs bagages ou les rendre moins lourds. Elle confia la valise la plus lĂ©gĂšre Ă  Ailinn, s'empara de l'autre, et se mit en marche. Si elle avait calculĂ© correctement, l'hĂŽtel Ă©tait Ă  une centaine de ville Ă©tait faiblement Ă©clairĂ©e mais l'eau renvoyait de nombreux reflets de toutes les couleurs qui miroitaient sur les murs de pierre qui semblaient Elles Ă©taient Ă  Venise. Ailinn KafkaSerdaigle Re Un petit tour Ă  VeniseAilinn Kafka, le Dim 17 FĂ©v - 1619 La frĂȘle fillette aux boucles rousse s’approcha lentement du Portoloin trĂŽnant sur la massive table de la salle Ă  manger. Celui-ci Ă©tait beaucoup plus simple que certains qu’utilisaient NaomĂ© autrefois, lorsqu’elles Ă©taient en fuite. Un livre Ă©cornĂ©, aux pages jaunies et Ă  la couverture passĂ©e, sur laquelle une femme au regard vague se perdant dans les volutes de brume du lointain avait Ă©tĂ© peinte, et dont mĂȘme la beautĂ© particuliĂšre ne risquait pas d’attirer l’attention du Moldu moyen. Les MisĂ©rables ». Ailinn se promit de le lire un jour, quand le temps des examens ne serait plus qu’un souvenir douillet que l’on Ă©voque au coin du feu
 La petite fille serra ses petits doigts blancs dans la main tendue de sa marraine, et inspira lentement pour apaiser son malaise. Transplaner Ă©tait toujours une Ă©preuve peu agrĂ©able, et elle avait hĂąte d’ĂȘtre dĂ©barrassĂ©e de cette corvĂ©e
 Quand tu auras ton permis de transplanage, ce sera bien plus pratique ! »La petite sorciĂšre sourit Ă  cette perspective, emplie d’une joie Ă©trange Ă  l’idĂ©e d’ĂȘtre un jour une sorciĂšre accomplie. Elles posĂšrent toutes deux leurs paumes sur le livre Ă©cornĂ©, couvrant le visage paisible de la mĂ©lancolique jeune femme de leurs mains fraiches, et disparurent brusquement en un tourbillon de vent sifflait aux oreilles d’Ailinn, de plus en plus strident tandis que leurs corps parcouraient des milliers de kilomĂštres en quelques secondes, et l’estomac de l’enfant se tordit en un complexe nƓud marin tandis qu’elles survolaient les landes rĂ©apparurent sous un pont de vieilles pierres duquel tombait une magnifique cascade de lierre entortillĂ©e autour de quelques gargouilles moyenĂągeuses. FascinĂ©e, la fillette se perdit dans la contemplation des eaux sombres du canal, souriant Ă  un homme d’ñge mĂ»r enveloppĂ© d’une Ă©paisse cape pourpre, naviguant sur une antique gondole vernie, qui lui rendit ce sourire avec un clin d’Ɠil ravi. Un sorcier ? Sia la benvenuta a Venezia, il mio Sole ! »Lorsqu’Ailinn se retourna, il avait disparu, mais cela ne l’attrista nullement. Elle Ă©tait Ă  Venise, avec sa marraine qu’elle adorait plus que tout, et elle allait dĂ©couvrir ce pays magnifique en oubliant Poudlard et les examens pendant quelques deux sorciĂšres ne tardĂšrent pas Ă  se mettre en route sous les lueurs vacillantes de l’aube, parcourant les Ă©troites ruelles pavĂ©es avec des yeux Ă©merveillĂ©s en direction de l’hĂŽtel qu’avait choisi Ahlys. Tout Ă©tait si beau, si 
 magique. C’est tellement beau
 » murmura l’enfant, remerciant sa marraine de ce merveilleux voyage. Ailinn ne saurait dire combien de temps dura leur marche dans les rues dĂ©sertes, mais Ă  ses yeux il n’équivalait pas mĂȘme Ă  un tour de trotteuse sur l’écran d’une montre. Elles arrivĂšrent soudain devant une Ă©lĂ©gante demeure s’élevant sur trois niveaux, dont les hautes fenĂȘtres romanes donnaient visiblement sur le cĂ©lĂšbre canal. Certaines d’entre-elles Ă©taient pourvues d’un Ă©troit balconnet de pierre Ă  la rambarde sculptĂ©e d’arabesques, Ă  partir duquel l’on pouvait clore les minces persiennes Ă©caillĂ©es si l’on souhaitait dormir aprĂšs l’aube. Voyant sa marraine s’arrĂȘter avec un air satisfait, la fillette tourna vers elle un regard interrogateur doublĂ© d’un sourire enchantĂ©. C’est ici ? » InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Mar 5 Mar - 1257 La jeune fille marchait en silence aux cĂŽtĂ©s d'Ahlys tandis que le canal clapotait doucement contre les bords de pierre. Elle regarda le ciel encore sombre mais dĂ©pourvu d'Ă©toiles ; bien que l'atmosphĂšre fĂ»t fraĂźche, le temps s'annonçait clĂ©ment. Au loin, une premiĂšre lumiĂšre vint s'Ă©clairer. Il devait ĂȘtre cinq heures et demie, la ville commençait doucement Ă  s'Ă©veiller de son paisible C'est tellement beau... s'exclama discrĂštement l' Je suis contente que cela te plaise, rĂ©pondit Ahlys en ne rĂ©sistant pas Ă  l'envie de passer sa main libre autour de l'Ă©paule de sa qu'elle prĂźt froid, la jeune femme pressa imperceptiblement le pas, puis leva les yeux vers un fort joli bĂątiment. Ailinn Ă©changea un regard avec Ahlys, dont le sourire s'Ă©largit. La petite sorciĂšre avait devinĂ© elles se trouvaient devant l'hĂŽtel dans lequel elles dormiraient ces prochains par rĂ©flexe, jeta un coup d'Ɠil Ă  droite et Ă  gauche de l'allĂ©e avant de pĂ©nĂ©trer sur la petite terrasse qui menait vers la porte principale. Elle s'avança Ă  la rĂ©ception non sans observer les alentours ; la piĂšce Ă©tait recouverte d'un parquet brun sombre qui renvoyait la lumiĂšre Ă©mise par de discrets plafonniers. Un canapĂ© et deux fauteuils en velours rouge se faisaient face, sĂ©parĂ©s par une table basse en verre opaque. Ahlys appuya timidement sur la sonnette posĂ©e sur le comptoir. Aucun son ne retentit. Elle rĂ©essaya plus franchement, puis un nouveau sourire naquit sur ses lĂšvres quand la cloche tinta. Il y eut une dizaine de secondes de silence avant qu'une grande femme d'une quarantaine d'annĂ©es ne vienne se prĂ©senter Ă  elles. Elle glissa une mĂšche de cheveux gris derriĂšre son oreille et murmura d'une voix douce - Riservato ? Constatant le regard gĂȘnĂ© de son interlocutrice, la rĂ©ceptionniste s'exprima en anglais, non sans un certain accent prononcĂ© mais mĂ©lodieux. Avez-vous rĂ©servĂ© ?- Oui, au nom de Maplestone. Une chambre Veuillez patienter je vous prie, rĂ©pondit la femme en glissant de petites lunettes sur son nez pointu. Oui, c'est bien cela. Chambre 316. Elle prit une clĂ© derriĂšre elle et dĂ©signa un petit couloir sur leur droite. Allez-y, l'ascenseur est lĂ . Je vais vous mener Ă  votre rĂ©cupĂ©ra les deux valises et laissa la propriĂ©taire passer devant elles. La femme s'arrĂȘta quelques secondes prĂšs d'Ailinn Ă  laquelle elle adressa un sourire bienveillant, ouvrit la porte de l'ascenseur et laissa les nouvelles venues s'y glisser. La cage Ă©tait Ă©troite, mais les trois femmes Ă©tant menues, elles n'auraient pas Ă  trop se raidir. Quand elles furent au troisiĂšme Ă©tage, la rĂ©ceptionniste sortit la premiĂšre et se dirigea tout au fond du couloir. Ahlys la suivit en silence en apprĂ©ciant la moquette chambre Ă©tait petite mais semblait confortable. Il y avait de la place pour un lit-double ainsi qu'une petite table et une chaise. Elles glisseraient leurs affaires sous le lit. A cĂŽtĂ© de cette piĂšce, elles trouvĂšrent une salle d'eau d'une propretĂ© impeccable. Quatre serviettes blanches et moelleuses avaient Ă©tĂ© disposĂ©es sous le lavabo. Ahlys remercia chaleureusement la propriĂ©taire, qui se retira aprĂšs avoir souhaitĂ© un bon sĂ©jour aux Irlandaises. Elle rajouta qu'elle se tenait Ă  leur entiĂšre disposition Ă  toute heure avant de disparaĂźtre dans le couloir et de tirer la porte derriĂšre jeune femme dĂ©posa un baiser sur la joue d'Ailinn et se dirigea vers l'unique fenĂȘtre de la chambre. Elle Ă©carta les rideaux, mais le jour ne s''Ă©tait pas encore Je propose que nous dormions encore deux ou trois heures pour ne pas ĂȘtre trop fatiguĂ©es. Ailinn KafkaSerdaigle Re Un petit tour Ă  VeniseAilinn Kafka, le Sam 6 Avr - 1524 La fillette observa la petite piĂšce dans laquelle elles se trouvaient tandis que sa marraine s’occupait d’affaires au comptoir. La rĂ©ception de leur hĂŽtel lui inspirait abondance et richesse, baignĂ©e dans la lumiĂšre dorĂ©e de quelques plafonniers diffus. Le sol comme les murs Ă©taient sombres, et de profonds fauteuils veloutĂ©s se faisaient face sur le prĂ©cieux parquet d’acajou. Sur une petite table basse de verre fumĂ©, quelques magasines hĂ©tĂ©roclites avaient Ă©tĂ© disposĂ©s Ă  l’intention des visiteurs, pour la plupart un peu Ă©cornĂ©s aprĂšs de nombreuses lectures. Ailinn en attrapa discrĂštement un entre ses doigts blancs, espĂ©rant secrĂštement ne pas se faire rĂ©primander, un peu mal-Ă -l’aise dans cette grande demeure inconnue. Feuilletant le journal d’un air dĂ©sinvolte sans vraiment y prĂȘter garde, elle ne tarda pas Ă  tomber sur des recettes de cuisine, et s’arrĂȘta, perplexe, sans comprendre pourquoi personne n’y faisait allusion Ă  la magie. Mais oui ! Elle avait complĂštement oubliĂ© que la plupart des autres clients de l’hĂŽtel seraient probablement des Moldus
 L'ascenseur est lĂ . Je vais vous mener Ă  votre room. »Ailinn s’empressa de suivre sa marraine dans l’étroit ascenseur, rĂ©pondant au sourire amical de la rĂ©ceptionniste. TroisiĂšme Ă©tage, derniĂšre Ă  droite. Une petite chambre lumineuse et impeccablement propre. Je propose que nous dormions encore deux ou trois heures pour ne pas ĂȘtre trop fatiguĂ©es. »Ailinn n’eut pas besoin de se le faire dire deux fois, et se glissa avec bonheur dans les draps frais. MĂȘme Ă  Poudlard, la fillette n’avait pas l’habitude de se lever si tĂŽt, et ne voulait pas laisser la fatigue entacher ses premiers instants dans cette ville les yeux, elle ne tarda pas Ă  s’endormir, ses rĂȘves peuplĂ©s de masques colorĂ©s et d’arabesques d’or.* * *La fillette entrouvrit ses paupiĂšres rosĂ©es, un peu perdue. Elle ne se rappelait pas de cette chambre dont les meubles n’étaient pas Ă  la mĂȘme place que dans la sienne, et c’est avec un sursaut de soulagement qu’elle aperçut sa marraine, endormie prĂšs d’ L’hĂŽtel, la chambre au troisiĂšme Ă©tage. Tout allait redressant doucement pour apercevoir le cadran lumineux du rĂ©veil, de l’autre cĂŽtĂ© du lit, la petite sorciĂšre ne tarda pas Ă  y apercevoir ce qu’elle cherchait. Neuf heures sachant pas vraiment si elle devait rĂ©veiller sa marraine ou la laisser profiter de ses derniĂšres heures de sommeil, la fillette se leva sur la pointe des pieds avant de se glisser sans faire de bruit dans la petite salle de bain entrouvrit la petite fenĂȘtre et respira l’air frais de l’hiver italien, et les effluves salĂ©s du canal, en contrebas, avant de se dĂ©cider. Elle avait bien trop envie de faire un tour dehors, il fallait qu’elle rĂ©veille Ahlys ! L’irlandaise se prĂ©para en toute hĂąte, tressa en couronne sa longue chevelure de feu et enfila des habits moldus avant de faire irruption dans la chambre. Lys ! Viens, on va voir ce qu’il y a dehors ! Il fait jour ! » InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Sam 27 Avr - 1725 HRPG I'm baaack! Ce n'est pas un post trĂšs Ă©toffĂ©, je n'ai pas Ă©crit depuis un petit moment ^.^Ahlys venait Ă  peine de proposer Ă  Ailinn de dormir un peu que celle-ci se glissait dĂ©jĂ  dans le lit confortable et moelleux. L'auror elle-mĂȘme se surprit Ă  bĂąiller, mais avant de rejoindre les bras de MorphĂ©e, attendit quelques minutes avant d'ĂȘtre certaine que la fillette dormait Ă  poings fermĂ©s. Elle la regarda un instant, puis fondit furtivement sous le lit, tendit le bras pour attraper son bagage, la tira vers elle et l'ouvrit. Elle saisit un premier paquet de taille respectable ; celui-ci contenait le jeu d'Ă©checs. Dans un second emballage, elle avait glissĂ© la plume Ă  vĂ©rification orthographique, cinq piĂšces en chocolat, un jeu du pendu rĂ©utilisable Ă  l'infini ainsi que cinq insignes d'auror comestibles. Un lĂ©ger parfum de myrtille se rĂ©pandit dans la piĂšce. Craignant de rĂ©veiller Ailinn, la sorciĂšre se redressa, les cheveux lĂ©gĂšrement en dĂ©sordre. Sa filleule n'avait pas bougĂ©. Souriant, Ahlys s'empara du dernier cadeau en veillant Ă  ne pas le secouer trop brusquement ; elle approcha son oreille et perçut quelques mouvements, mais le dragon miniature n'Ă©tait pas trop un sourire ravi, elle glissa les prĂ©sents dans un des tiroirs, puis rangea d'autres affaires avant de se faufiler Ă  son tour dans le lit que le corps d'Ailinn avait tiĂ©di. L'auror avait Ă  peine fermĂ© les yeux qu'elle s' visage d'un homme noir. Ahlys ne le connaĂźt que trop bien, pour l'avoir observĂ© de nombreuses fois. Il la regarde et lui sourit en lui tendant le bras pour lui proposer de marcher un peu. Elle hĂ©site mais sait qu'elle va accepter. Ahlys et Joe se mettent en marche. Ils font quelques pas en silence, observant l'Ă©trange paysage Ă  la lumiĂšre lĂ©gĂšrement rosĂ©e. Ils s'arrĂȘtent et se font face. Il glisse sa main chaude sur sa nuque, pose ses lĂšvres sur son front opalin. Il murmure Lys... »OoO- Lys ! Viens, on va voir ce qu'il y a dehors ! Il fait jour !Ahlys ouvrit les yeux et les referma aussitĂŽt ; la piĂšce Ă©tait baignĂ©e d'une lumiĂšre claire. Elle ramena la couverture vers elle et roula sur le lit en feignant l' Pour la peine, attrape-moi mes affaires dans le tiroir ! fit-elle en dissimulant son sourire derriĂšre un rideau de cheveux roux. Ailinn KafkaSerdaigle Re Un petit tour Ă  VeniseAilinn Kafka, le Ven 3 Mai - 2002 Jamais un matin de NoĂ«l ne lui avait paru si beau. Venise resplendissait sous le soleil d’azur, elle Ă©tait avec sa marraine adorĂ©e et allait passer quelques jours dans cette ville merveilleuse
Ailinn ne put rĂ©primer un sourire amusĂ© en voyant sa marraine se cacher sous les couvertures comme une enfant, et Ă  sa demande, s’apprĂȘta Ă  attraper ses affaires dans le tiroir de la commode. La fillette Ă©tait Ă©tonnĂ©e qu’Ahlys ait eu le temps de ranger leurs affaires avant qu’elles ne dorment, car elle ne se souvenait pas s’ĂȘtre endormie si vite, mais aprĂšs tout elle s’était sentie si fatiguĂ©e que c’était bien alors qu’elle ouvrait le large tiroir d’ébĂšne, Ailinn y aperçut de nombreux paquets brillants Ă  cĂŽtĂ© de leurs vĂȘtements. Des cadeaux ! La fillette avait soudain une envie irrĂ©sistible de les ouvrir, mais se retint, et ne les sortit pas du tiroir. Elle voulait les dĂ©couvrir pendant que sa marraine ouvrait ses propres dĂ©posa sur le grand lit les affaires de sa marraine, prĂšs de la cage du hibou petit duc qu’elle avait recouvert d’un carrĂ© de velours rouge pour qu’il ne souffre pas trop du voyage, et des trois paquets qu’elle destinait Ă  sa marraine avant de sauter au cou d’Ahlys en s’écriant Joyeux NoĂ«l, ’Lys ! Je peux prendre mes cadeaux ? On les ouvre ensemble ? »Elle espĂ©rait que les deux ouvrages sur le Quidditch et la sorcellerie mĂ©diĂ©vale plairaient Ă  l’ancienne Serdaigle, et surtout qu’elle n’avait pas fait d’erreur en lui achetant le hibou mordorĂ© qu’elle n’avait pas encore nommĂ©. Pour la plume de phĂ©nix, elle n'avait pas d'inquiĂ©tudes. Ce genre de cadeau Ă©tait passe-partout, toujours utile et n’avait pas encore vĂ©cu beaucoup de NoĂ«ls heureux. Il y en avait eu un, avec NaomĂ©, qui resterait Ă  jamais gravĂ© dans sa mĂ©moire, mais elle ne voulait pas y songer pour le moment tant celui-ci Ă©tait douloureux. Elles avaient dĂ©gustĂ© du pudding tiĂšde dans un cottage poussiĂ©reux, et sa mĂšre lui avait offert quelques pĂ©tards surprise, un sachet de dragĂ©es de Bertie Crochue et un livre sur la mĂ©tamorphose
 NaomĂ© lui manquait tant. InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Jeu 4 Juil - 1902 RP avec Evan, Azphel, Cassius Clay et Jagang de Maldor Intrigues vĂ©nitiennesLa nuit commençait Ă  tomber sur la citĂ© vĂ©nitienne. L'activitĂ© touristique ne cessait pas pour autant, cette ville semblait toujours pleine de monde. Pourtant, Mike connaissait un endroit parfait pour un petit rendez-vous nocturne en toute sĂ©curitĂ©. D'un "plop" sonore, il apparut au milieu d'une petite allĂ©e dĂ©serte. Celle-ci menait Ă  une petite place enclavĂ©e entourĂ©e de maisonnettes et dont le portail laissait Ă  penser que cet espace appartenait Ă  l'un des propriĂ©taires. Il n'en Ă©tait rien et le Serdaigle le savait. Il attendait devant la grille noire les personnes Ă  qui il avait demandĂ© de venir. Il n'Ă©tait pas revenu par hasard en Italie et surtout pas Ă  Venise en plein carnaval. La foule Ă©tait ce qui protĂ©gerait le mieux une rencontre secrĂšte. Et l'Ă©tranger ne pouvait ĂȘtre que le meilleur asile afin de ne pas Ă©veiller les trentenaire n'Ă©tait pas satisfait de la politique actuelle du ministĂšre. Il avait vĂ©cu dans le passe en marge de cette sociĂ©tĂ©, cherchant Ă  Ă©branler le pouvoir en place en rejoignant une sombre confrĂ©rie. Lorsqu'il pensait Ă  cette Ă©poque, il se disait intĂ©rieurement que c'Ă©tait le bon temps. À l'Ă©poque, outre les attaques sur les sorciers qui Ă©taient contre eux, ils pensaient Ă  un moyen lĂ©gal de prendre le pouvoir et ils avaient fini par l'obtenir. Sauf que Mike avait quittĂ© l'Angleterre avant cet avĂšnement. Il n'avait rien connu de cette Ă©poque. Il Ă©tait revenu bien plus tard, lorsque ses congĂ©nĂšres Ă©taient traquĂ©s ou du moins, ce qu'il en restait. MĂȘme l'ex-chef de cette ligue avait fini par quitter l'Angleterre, laissant la place Ă  un inconnu pour le Serdaigle. Celui-ci avait peut-ĂȘtre tuĂ© de sa main ou moins commanditĂ© la mort d'Alicia. Il n'avait plus aucun contact parmi eux, il avait su que beaucoup s'Ă©taient enfuis mais les auteurs de ce crime odieux semblaient s'en ĂȘtre sortis. Les Aurors montraient une fois encore leur incapacitĂ© Ă  rĂ©pandre la vent tournait mais aucune tempĂȘte n'approchait. Le monde anglais des sorciers Ă©tait dans un faux calme effrayant pour le gĂ©rant des Trois Balais. Il fallait crĂ©er un nouvel ordre, changer les choses ! La crise frappait ce monde et aucune solution semblait y mettre fin. Les temps Ă©taient durs mais il n'y avait aucune vague de rĂ©volte. Les Mangemorts semblaient muĂ©s dans l'attente mais l'attente de quoi ? Certes, il leur en voulait toujours pour la mort de la soeur de Solange mais sans leur activitĂ©, la vie semblait terne et soumise. Sans leur activitĂ©, il ne pourrait pas remonter jusqu'Ă  l'assassin et obtenir charmante femme s'approcha de lui. Il mit machinalement la main sur la baguette qui se trouvait dans sa poche. Il n'attendait pas de femme pour ce soir. Il avait contactĂ© deux hommes dont il connaissait leurs idĂ©aux Evan et Azphel. il leur avait envoyĂ© un message cryptĂ© leur joignant de venir se retrouver en Italie. Il avait eu vent de leur retour depuis quelque temps et il se demandait si comme lui, ils ne s'ennuyaient pas dans leur retraite jeune femme marchait d'un pas lent dans sa direction en fumant. Elle se planta devant lui avec sa cigarette Ă  la main, prenant l'air Dites-moi, beau brun, on vous a dĂ©jĂ  dit que vous ressembliez Ă  Nathan Fillion ?Le Serdaigle fit signe que non. Il Ă©tait flattĂ© qu'une personne puisse le confondre avec un acteur sexy. La belle demoiselle s'Ă©loigna tandis que son tĂ©lĂ©phone portable sonnait. Elle dĂ©crocha et parla d'une voix suffisamment forte pour que le sorcier puisse l' Castle, oĂč est-ce que vous Ă©tiez? Vous avez ratĂ© une affaire se demanda s'il avait bien entendu le nom au tĂ©lĂ©phone. La jeune femme se tourna de nouveau vers lui et il trouvait qu'elle avait un air de Beckett. Il secoua sa tĂȘte et ne comprenait plus trop ce qui se passait pour le Ă©dition par Mike Starkiller le Lun 8 Juil - 1925, Ă©ditĂ© 1 fois Devon StarckPoufsouffle Re Un petit tour Ă  VeniseDevon Starck, le Ven 5 Juil - 1427 € € € Une explosion retentit fortement au-dessus de lui, ce qui contraignit 05 Ă  relever la tĂȘte. Elle provenait d'un couloir du deuxiĂšme Ă©tage du chĂąteau dont de lourdes pierres s'Ă©croulaient dans le parc, arrachĂ©es de leur carcan millĂ©naire par un bombarda d'une extrĂȘme violence. Deux corps noircis et ensanglantĂ©s s'Ă©chouaient dans l'herbe en mĂȘme temps que les gravats, tandis que des flammes affolĂ©es ravageaient tout l'Ă©tage de Poudlard. D'autres explosions suivirent et, en se redressant, 05 vit la tour d'astronomie imploser et se rĂ©pandre en dĂ©bris tout autour de sa base. DerriĂšre lui, la forĂȘt interdite Ă©tait soulevĂ©e par un immense brasier. Des animaux apeurĂ©s s'en enfuyaient, d'autres sortaient des arbres en hurlant, rongĂ©s par des flammes qui les consumaient. Poudlard sombrait peu-Ă -peu et, Ă  l'image de sa dĂ©faite, sa rĂ©signation, les membres de l'ordre du phĂ©nix et les Aurors tombaient un-Ă -un sous les baguettes des mangemorts. 05 s'agenouilla, Ă©crasant de son poids la jugulaire de la jeune Auror allongĂ©e sous lui. Elle crachat un jet de sang, impuissante ; des larmes mouillaient ses joues flĂ©tries par la peur. Elle Ă©tait gravement blessĂ©e, elle attendait la mort. Alors, 05 plongea son regard dans celui de la jeune femme et d'une voix monocorde, vide de toute Ă©motions, lui dit - Quand Poudlard sera en cendres, ..., je t'autoriserai Ă  mourir.€ € € L'image de l'Auror mourante disparut, laissant place au visage de la jeune Kyara Blanchet. Le corps nu de la jeune sorciĂšre en sueur Ă©tait plaquĂ© contre celui d'Azphel, son souffle, ralenti par l'intensitĂ© de leur Ă©bat, ses pupilles dilatĂ©es plongĂ©es passionnĂ©ment dans les yeux du sorcier. Les draps suivaient le mouvement de leurs corps enchevĂȘtrĂ©s et tĂ©moignaient d'une nuit passionnĂ©e entre les deux sorciers qui n'avait pas J'aimerais que cette nuit ne s'achĂšve jamais, lui tap, tap, bruit rĂ©veilla subitement Azphel et il se redressa dans son lit avant de se laisser tomber en arriĂšre sur son oreiller dĂ©formĂ© par une nuit trĂšs agitĂ©e. Il enfouit sa tĂȘte dans ses deux Pu**in, c'Ă©tait qu'un rĂȘve...Il porta sa main droite Ă  son bras gauche qui le lançait sa marque des tĂ©nĂšbres mutilĂ©e le brĂ»lait, chose qui n'Ă©tait pas arrivĂ©e depuis trĂšs longtemps. Le tapotement sonore recommença et le sorcier se redressa, sans plus faire attention Ă  la douleur de son avant bras, s'efforçant Ă  faire le tri dans ses pensĂ©es. Il traversa le long couloir qui menait Ă  sa terrasse et lĂ , devant sa fenĂȘtre, il vit Kivol, son hibou grand-duc, qui tapotait sur le carreau intĂ©rieur. A l'extĂ©rieur, un autre hibou attendait, qu'Azphel ne connaissait pas, mais il avait un morceau de parchemin accrochĂ© Ă  sa patte. Quand il ouvrit la porte fenĂȘtre le hibou s'empressa d'entrer et dĂ»t faire un effort pour rester immobile le temps qu'Azphel dĂ©croche le message, car Kivol ne cessait de sautiller autour de lui et de lui mordiller les plumes.€ € € Il laissa les deux hiboux qui se chamaillĂšrent dans le couloir et dĂ©roula le rouleau de parchemin, qu'il lut en allant chercher une gamelle d'eau et un peu de miamhibou pour donner au voyageur. Le message Ă©tait cryptĂ© selon un ancien code mangemort, court, et ĂŽ combien inattendu. Il provenait d'une personne qu'Azphel avait connu il y a bien longtemps, quelqu'un qu'il croyait disparu, Mike Starkiller. Il l'invitait Ă  venir le rejoindre Ă  Venise, pour une rĂ©union d'anciens. Il n'y avait rien d'explicite dans la lettre, ni d'autres noms que le sien, mais Azphel savait que Mike ne se risquerait pas Ă  Ă©voquer les raisons si cela concernait la magie noire, et apparemment, les Mangemorts. Il arpenta sa maison pensivement, se demandant de quoi il pouvait bien en retourner exactement. IntĂ©rieurement, il avait dĂ©jĂ  fait son choix Mike Ă©tait un frĂšre d'armes autrefois et il ne pouvait pas ne pas lui rĂ©pondre rĂ©cupĂ©ra les gamelles de nourriture et laissa le hibou voyageur repartir, rĂ©coltant un hululement rĂ©probateur de la part de Kivol. Une heure plus tard, Azphel Ă©tait fin prĂȘt et sortit de chez lui avec sa moto volante, un ancien side qu'il avait largement modifiĂ© et qui ressemblait maintenant Ă  une grosse cylindrĂ©e japonaise moldue. Volant au-dessus des nuages, plein gazes, il mit un peu moins de trois heures pour rejoindre la citĂ© VĂ©nitienne. C'Ă©tait la premiĂšre fois qu'Azphel venait Ă  Venise, pourtant il avait l'impression qu'elle lui Ă©tait familiĂšre, peut-ĂȘtre parce qu'il avait eu de multiples occasions de la voir Ă  la tĂ©lĂ© ou dans des magazines.€ € € Le mage noir gara sa moto dans une petite ruelle et la camoufla Ă  l'aide d'un sortilĂšge. Il descendit ensuite dans les rues de la ville, passa devant une pizzeria et enjamba une demi douzaine de ponts ce qui lui laissa le temps d'admirer les gondoles qui parsemaient le PĂŽ. Il s'alluma une cigarette et la fuma en regardant l'architecture byzantine des bĂątiments en se demandant oĂč il trouverait Mike. Finalement il repĂ©ra le sorcier et arriva dans son dos. Il avait l'air de draguer une jeune femme extrĂȘmement charmante qui ressemblait Ă  une actrice de sĂ©rie brunette dĂ©crocha son tĂ©lĂ©phone portable et s'Ă©loigna au moment oĂč Azphel arrivait Ă  hauteur de Mike. Sans le regarder, il lui dit - Je ne sais pas ce qu'elle en pense, mais je te trouve beau se fendit d'un large sourire et se retourna vers l'homme qui l'avait invitĂ© Ă  Venise, lui empoignant la main fermement, comme celle d'un vieil ami qu'on a pas revu depuis Comment vas tu Mike ? Tu as bien choisi la ville on dirait, dit-il en regardant la brunette au tĂ©lĂ©phone qui s'Ă©loignait. Il y a l'air d'y avoir de ravissantes distractions. Un peu difficile Ă  dĂ©chiffrer ton message, mais j'ai Ă©tĂ© ravi de le recevoir. A vrai dire, je ne pensais pas te revoir, toi ou quelqu'un d'autre de notre Ă©poque. je me suis tellement Ă©loignĂ© du monde sorcier que je croyais que tout le monde m'avait oubliĂ©, visiblement ce n'est pas le Le monde a bien changĂ©, ajouta-t-il aprĂšs un long silence, un regard mĂ©lancolique pointĂ© sur les passants. On a pas mal de choses Ă  se raconter je pense. Alors qu'il Ă©tait plongĂ© dans le dĂ©colletĂ© d'une grande blonde, un visage masculin vint se plantĂ© devant lui. Il eut du mal Ă  en croire ses yeux tant il avait cru que cette personne Ă©tait morte oĂč bien loin du monde magique, comme il l'avait Ă©tĂ© jadis. C'Ă©tait Evan, qui semblait en bien meilleure forme que lorsqu'ils s'Ă©taient vus pour la derniĂšre Ouah, s'exclama Azphel en lui faisant une accolade. On dirait que la retraite te fait le plus grand bien. EvanSerpentard Re Un petit tour Ă  VeniseEvan, le Sam 6 Juil - 904 ~ La plupart de nos journĂ©es rĂ©sultent d'un train train quotidien d'oĂč rien d'extraordinaire ne ressort. Des journĂ©es que l'on pourrait qualifier de "banales", qui ne trouveront jamais de place pertinente dans le meuble de nos souvenirs. En contrepartie, certaines journĂ©es trouvent une saveur complĂštement inattendue, une odeur Ă  la fois de passĂ© et d'avenir et celles-lĂ , resteront gravĂ©es de par leur Ă©trangetĂ© et de ce qu'elles nous auront apportĂ©.~ Evan s'Ă©tait Ă©veillĂ© ce matin-lĂ  avec une gueule de mal lunĂ©, car une nuit d'insomnie Ă©tait venue frapper Ă  sa porte et les heures de sommeil qu'il avait eu se comptaient au nombre de trois. Bref, il avait donc une mine affreuse qui laissait prĂ©sager une humeur massacrante pour le reste de la journĂ©e. Du moins le croyait-il. Cependant, lorsqu'il arriva dans son hall d'entrĂ©e, il fut surpris de voir une lettre qui attendait sur le tapis prĂšs de la porte. Jamais il n'avait reçu le moindre courrier jusqu'Ă  prĂ©sent, et pour cause, il avait tout fait pour que sa demeure ne soit connue de personne, y compris des Mangemorts. La seule personne qu'il avait autorisĂ© Ă  entrer chez lui Ă©tait Kimoka, et la belle n'avait pu entrer que grĂące Ă  sa cheminĂ©e qui Ă©tait protĂ©gĂ©e par un mot de passe, les grilles de son manoir ne pouvant s'ouvrir qu'Ă  une personne parlant le Fourchelang, il s'Ă©tait toujours considĂ©rĂ© comme quelqu'un d'introuvable.~ NĂ©anmoins, les faits Ă©taient lĂ , une lettre l'attendait. Qui pouvait bien l'avoir retrouvĂ© ? Il s'avança jusqu'Ă  l'enveloppe avec une pointe d'apprĂ©hension. La lettre Ă©tait cachetĂ© d'une cire rouge et il alla s'installer dans son salon pour l'ouvrir. Il dĂ©cacheta soigneusement l'enveloppe avant de se saisir du parchemin qu'elle contenait. A sa grande surprise, il y trouva une lettre Ă©crite dans un code Mangemort. Il n'avait plus vu cela depuis bien longtemps et il lui fallut quelques minutes pour venir Ă  bout du code dont il avait perdu une partie du dĂ©codage. Mike Starkiller, le treiziĂšme maillon des TĂ©nĂšbres, c'Ă©tait lui qui Ă©tait Ă  l'origine de la lettre.~ Il la lue deux fois de tout son long, le mage souhaitait rĂ©unir d'anciens Mangemorts comme lui dans un lieu suffisamment Ă©loignĂ© et protĂ©gĂ© pour ĂȘtre l'abri d'une Ă©ventuelle traque. Le rendez-vous Ă©tait fixĂ© Ă  Venise, une ville qu'il avait la chance de connaĂźtre puisqu'il avait passĂ© quelques annĂ©es entre la France et l'Italie, et, Ă  la fin de la lettre Mike lui prĂ©cisa qu'il Ă©tait libre d'invitĂ© d'anciens Mangemorts s'il Ă©tait toujours en contact avec certains. Son ami Azphel passa immĂ©diatement dans son esprit, mais il avait perdu le contact avec l'homme et ne savait pas du tout oĂč le retrouver. 04 ? 34 ? 16 ? 83 ? Quatre DĂ©esses Mangemorts avec qui il n'avait plus de contacts autre que dans ses rĂȘves charnels hors du temps oĂč il se voyait encore prĂšs d'elles dans les cuisines d'Hollow Bastion... 14 ? 50 ? 17 ? 23 ? 66 ? Il les avait tous perdu de vue au moment de sa tentative de suicide. Deux noms cependant lui vinrent en tĂȘte, Cassius Clay, un homme qui avait rejoint les TĂ©nĂšbres pendant qu'Evan y Ă©tait. Il avait participĂ© Ă  l'intĂ©gration de l'homme dans l'ordre bien que ce dernier avait disparu peu de temps aprĂšs. NĂ©anmoins, il se souvenait de comment le contacter. Par ailleurs, il pensa inĂ©vitablement Ă  Jagang qu'il avait rencontrĂ© et avec qui ils avaient prĂ©vu de se revoir. Mike voudrait-il de lui ? Il ne le savait pas, mais il se rĂ©signa Ă  tout de mĂȘme lui Ă©crire.~ Une vingtaine de minutes plus tard, il avait rĂ©digĂ© deux lettres utilisant le mĂȘme code Mangemort pour Cassius et Jagang, en leur communiquant le lieu de rendez-vous. Il remit les deux enveloppes Ă  son hibou qui trouva lĂ  l'occasion inespĂ©rĂ©e de pouvoir sortir de son perchoir aprĂšs un an sans mission de la part de son maĂźtre. Le volatile devait ĂȘtre moisi pour la mission, certainement risquait-il de se paumer en chemin, mais il n'avait que lui. Le Serpentard gagna ensuite sa chambre ou il rĂ©cupĂ©ra un sac ou il put mettre Ă  l'intĂ©rieur le nĂ©cessaire pour son voyage. Sa seconde baguette, sa cape d'invisibilitĂ© qui pourrait toujours servir, trois bouteilles de whisky pur feu pour fĂȘter les retrouvailles avec ses amis, bref, tout ce dont il avait besoin en somme. Fin prĂȘt, il transplana sur une place oĂč il Ă©tait dĂ©jĂ  passĂ©.°~ Venise, place San Marco ~°~ Le mage noir se retrouva face Ă  la grande basilique qui surplombait la place de sa hauteur, se rappelant un Ă©vĂ©nement qui avait Ă©tĂ© orchestrĂ© par deux de ses anciens confrĂšres Ă  Big Ben en Angleterre. Evan serpenta dans les ruelles adjacentes Ă  la grande place, l'information de Mike avait Ă©tĂ© assez vague, il n'Ă©tait pas certain de trouver l'homme Ă  la ruelle convenue. Le soleil rayonnait de tout son aura sur l'Italie et le sorcier se rinçait l'Ɠil sur les moldues qui arboraient des tenues trĂšs affriolantes. Un constat lui sauta rapidement aux yeux, il Ă©tait le seul con Ă  se balader avec une longue cape par cette chaleur, il attirait donc plein de regards suspicieux et moqueurs qui lui donnĂšrent l'envie de faire quelques meurtres.~ Une dizaine de minutes Ă  arpenter les ruelles, trois ponts passĂ©s et il pu voir de loin deux de ces anciens compĂšres qui semblaient mater des moldus. Azphel en faisait partie ! Jamais il n'avait pensĂ© le retrouver, pourtant il Ă©tait lĂ , enfin il Ă©tait plutĂŽt concentrĂ© dans le dĂ©colletĂ© d'une blondasse Ă  qui le sorcier n'accorda aucun crĂ©dit, ses anciens amis passaient avant. Il se planta devant le sorcier qui fut aussi surpris que lui de le voir quand il eut daignĂ© sortir son regard de la paire de nichons moldu. Les deux hommes se firent une grande accolade, avant qu'Evan ne rĂ©ponde Ă  son En effet j'ai plutĂŽt bonne mine, ce qui est Ă©tonnant si tu savais par oĂč je suis passĂ©... Toi aussi tu as plutĂŽt une bonne gueule ! Je vois que tu as pas perdu ton sens de l'observation ! Hey Mike ! glissa-t-il ensuite Ă  destination de l'homme qui avait organisĂ© cette rencontre, heureux de le revoir Ă©galement. Comment tu vas vieux dĂ©bris ?~ Mike avait Ă©tĂ© un ancien Mangemort, il Ă©tait dĂ©jĂ  prĂ©sent dans l'Ordre tĂ©nĂ©breux quand Evan les avait rejoints, c'est pour cela que le sorcier le respectait et lui accordait beaucoup de considĂ©rations. Il restait maintenant Ă  mettre au clair le but de ce rendez-vous secret, Ă  moins que d'autres ex-Mangemorts Ă©taient attendus ? InvitĂ© Re Un petit tour Ă  VeniseInvitĂ©, le Lun 8 Juil - 1115 Pour la plupart des gens, les journĂ©es se suivent et se ressemblent, pour une petite minoritĂ©, c'est plutĂŽt le contraire. Jagang fait parti de ceux lĂ . Les journĂ©es sont complĂ©tement diffĂ©rentes d'une journĂ©e Ă  l'autre. Il y a les cours qui donnent du piment, les rencontres qui peuvent devenir intĂ©ressantes, comme lorsque Jagang rencontra Azphel et qu'ils passĂšrent la nuit avec deux superbes femmes qui n'avaient pas de cervelles ou une rencontre avec un ancien cagoulĂ© oĂč ils purent discuter de tout et de rien et pratiquer de la magie noire Ă  fond sans nuit que venait de passer Jagang en faisait aussi parti. Comment oublier une nuit magnifique avec quatre donzelles. Seulement une heure de sommeil sur le matin. Les jeunes femmes Ă©taient en train de se rĂ©veiller doucement dans le plus simple appareil. Jagang lui aussi Ă©tait trĂšs peu voir pas du tout vĂȘtu. Les corps les uns contre les autres histoire de se tenir chaud. Puis un petit dĂ©jeuner copieux Ă©tait dĂ©posĂ© sur la table de la chambre. L'elfe de maison avait parfaitement fait son mangĂšrent ainsi complĂštement nu, les uns en face des autres. Les pieds allĂšrent jouer sur des endroits trĂšs sensibles de chacun. C'Ă©tait trĂšs agrĂ©able de se rĂ©veiller de cette façon. Puis un hiboux frappa Ă  la fenĂȘtre de la chambre. Jagang se leva et marcha sans souci jusqu'Ă  la fenĂȘtre, et l'ouvrit. L'hiboux s'engouffra dans la chambre et vient chercher des caresses auprĂšs de la gente fĂ©minine. Jagang avait repĂ©rĂ© le morceau de parchemin sur une des pattes du hiboux. Il prit le parchemin et remarqua un code ancien afin de crypter le message. Il rĂ©flĂ©chit quelques instants avant de prendre la dĂ©cision de mettre tout le monde dehors. Des affaires importantes l'appelaient et il ne voulait pas que des demoiselles Ă©cervellĂ©s s'en mĂȘlent. Ni une ni deux, les demoiselles se rhabillĂšrent lentement, permettant Ă  Jagang de mater leur somptueux corps. Il ne pouvait s'empĂȘcher de reluquer des corps aussi fois seul, il prit une feuille de parchemin, une plume et son encrier pour dĂ©coder le fameux message. Il s'agissait d'un vieux code, mais vu la position de Jagang, ancien ou nouveau code n'avaient aucun secret pour lui. Quel ne fut pas sa surprise quand il dĂ©couvrit que la personne qui l'invitait n'Ă©tait autre que Evan. Un petit voyage Ă  Venise lui Ă©tait alors proposĂ©. Jagang appela son elfe pour le prĂ©venir qu'il allait sortir pendant quelques jours. Ce dernier rĂ©pondit - Que maĂźtre s' oui Jagang comptait bien s'amuser. La rĂ©union avait l'air intĂ©ressante et si elle permettait de rassembler quelques condisciples cela ne serait pas perdu en fin de s'habilla convenablement, une chemise blanche lĂ©gĂšrement ouverte sur son torse, un jean noir et des baskets noirs Ă©galement. Le temps Ă  Venise Ă©tait des plus convenable. Un grand soleil, une chaleur estivale, rien de mieux pour profiter du temps et des femmes en petites tenues.°~ Venise, place San Marco ~°AprĂšs quelques transplanages, Jagang se trouvait dans la plus belle ville de l'amour. Les femmes italiennes Ă©taient Ă  la hauteur de leur rĂ©putation. Jagang se promenait tranquillement dans les rues, il passa sur les ponts, il reluquait les femmes en petite jupe trĂšs moulante. Un vrai rĂ©gal pour les yeux de ceux qui apprĂ©cient la bonne chair. Les femmes se retournaient trĂšs souvent sur son passage, un sourire dragueur sur les lĂšvres ne pouvaient laisser indiffĂ©rents les jeunes arriva finalement en vue de la rue, oĂč on lui avait donnĂ© rendez vous. Il remarqua alors trois personnes qui attendaient lĂ . Evan comme convenu, Azphel, dont il avait dĂ©jĂ  fait connaissance dans des circonstances particuliĂšres et une personne dont il n'aurait pas imaginĂ© voir avec les deux autres, Mike le gĂ©rant du bar les trois balais. Il ne s'attendait pas le voir ici, mais bon, il semblait connaĂźtre les deux autres donc aucun souci Ă  se faire. Jagang s'approcha et dit alors - Bien le bonjour, je suis venu le plus rapidement possible dĂšs que j'ai su. Cela ne m'a pas empĂȘcher de repĂ©rer quelques jolies brins de jeunes femmes. C'est ici qu'on va s'amuser comme des petits fous. Re Un petit tour Ă  VeniseContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Petitoiseau si tu n'as pas d'ailes, Ahh tu peux marcher yeah . Tu peux marcher yeah yeah! La la la la la la la la la la Petit oiseau, si tu n'as pas d'ailes, Tu peux rien faire en tant qu'oiseau. 8 | 47. Commenter # Posté le mercredi 02 janvier 2008 17:34. Modifié le dimanche 15 mars 2009 07:29. Amis 0; Tweet; Commentaires; Kiffs; Remix; Commenter N'oublie pas
Return to the Music Blog of Gad-Elmaleh-Musique Listen to this track Add this track to my blogTitle Petit OiseauAlbum Gad ElmalehYear 2001Lyrics Petit oiseau si tu n'as pas d'ailes,Ahh! tu peux pas peux pas voler, non non non non oiseau si tu n'as pas d'ailes,Ahh tu peux marcher yeah .Tu peux marcher yeah yeah!La la la la la la la la la la... Petit oiseau, si tu n'as pas d'ailes,Tu peux rien faire en tant qu'oiseau. Posted on Thursday, 03 January 2008 at 1234 AMEdited on Sunday, 15 March 2009 at 129 PM
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